Un nouveau soldat français, un commando marine, a été tué jeudi lors d'un «accrochage» en Afghanistan, alors qu'il participait avec des policiers afghans à une opération de contrôle dans la vallée d'Alasay, en Kapisa dans le Nord-Est du pays. L'Elysée a confirmé l'information. Ce décès est survenu alors que la France célèbre la fête nationale du 14 juillet, et au lendemain d'un attentat-suicide qui a tué cinq militaires français en Afghanistan.
Il s'agit donc du 6ème soldat français tué en Afghanistan en deux jours.
Dans un premier temps, Ouest-France, avait annoncé la mort d'un soldat français lors d'un nouvel attentat suicide survenu ce jeudi matin à Kandahar. Le nombre de victimes de cet attentat diverge selon les sources. Il a même été revu à la baisse. L'attentat aurait fait au moins trois morts selon le gouverneur de Kandahar. Ses services avaient pourtant annoncé la mort de cinq civils, un peu plus tôt dans un communiqué, tandis que le ministère de l'Intérieur afghan dénombrait lui quatre morts dont un enfant. L'attentat aurait également fait 15 blessés.
L'attaque visait une mosquée où se tenait une cérémonie en mémoire d'Ahmed Wali Karzaï, le demi-frère du président afghan, assassiné mardi.
Parmi les morts, figure le chef du Conseil des oulémas (religieux musulmans) de la province de Kandahar, le mollah Hekmatullah Hekmat.
Selon le député afghan Kamal Naser présent sur les lieux, une délégation gouvernementale de haut-niveau comprenant les ministres de la Défense et de la Justice assistait à la cérémonie, mais avait quitté la mosquée quelques minutes avant l'explosion. Aucun membre du gouvernement n'a été touché.
Les insurgés talibans ont revendiqué l'assassinat d'Ahmed Wali Karzaï, personnage controversé et homme fort de la province de Kandahar, abattu à son domicile par un proche responsable de sa sécurité.
Dans un premier temps, Ouest-France, avait annoncé la mort d'un soldat français lors d'un nouvel attentat suicide survenu ce jeudi matin à Kandahar. Le nombre de victimes de cet attentat diverge selon les sources. Il a même été revu à la baisse. L'attentat aurait fait au moins trois morts selon le gouverneur de Kandahar. Ses services avaient pourtant annoncé la mort de cinq civils, un peu plus tôt dans un communiqué, tandis que le ministère de l'Intérieur afghan dénombrait lui quatre morts dont un enfant. L'attentat aurait également fait 15 blessés.
L'attaque visait une mosquée où se tenait une cérémonie en mémoire d'Ahmed Wali Karzaï, le demi-frère du président afghan, assassiné mardi.
Parmi les morts, figure le chef du Conseil des oulémas (religieux musulmans) de la province de Kandahar, le mollah Hekmatullah Hekmat.
Selon le député afghan Kamal Naser présent sur les lieux, une délégation gouvernementale de haut-niveau comprenant les ministres de la Défense et de la Justice assistait à la cérémonie, mais avait quitté la mosquée quelques minutes avant l'explosion. Aucun membre du gouvernement n'a été touché.
Les insurgés talibans ont revendiqué l'assassinat d'Ahmed Wali Karzaï, personnage controversé et homme fort de la province de Kandahar, abattu à son domicile par un proche responsable de sa sécurité.
Le Parisien
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