Une semaine qui finit au bout de l’essoufflement ; un
dimanche trop court ; et voilà qu’elle recommence déjà;
Lassant recommencement, sans grâce ; peine sans espoir ;
mortellement morne, sans surprise, tel tant d’autres égrenés au long de l’inventaire
des années de labeur et de souffrance et d’ennui.
A bout de souffle, Le soleil ira se lever ; moi, j’en
ferai de même ; peut-être…
Rio de Janeiro, le 23 septembre 2012.
JOANMIRA
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