"Famous blue raincoat"
27.2.20
7.2.20
Rends compte à toutes les heures qui passent.
Tu es passée, comme on dit, dans l'autre monde à 61 ans.
Non, ne te reproche rien de nous avoir laissés,
Ce n’est pas ta faute et notre malheur est commun.
Tes enfants, les petits, tes amis et moi t’aimons
Et sommes tous défaits de ton départ inspéré..
Mais c’est ainsi mon bébé. Je t’appelle bébé car,
Quand nous nous sommes mariés en 1974, tu
m’appelais « petit vieux (velhinho) ».
Mesmo em Português tudo me parece logico
Em relação aos seis anos de diferença que tinhamos...
Hoje estamos todos de luto. A nossa tristeza,
incomensuravel que é, não impede de te afirmar
que foste uma excelente amiga, um grande amor
Para os teus familiares e uma excelente companheira.
Quando a minha hora chegar, sera um grande prazer
Ir ter contigo na campa comum que fis para nos
Dois no lindo, abrigado e calmo cemitério de Tarnos.
Descansa em paz meu bébé.
Teu "velhinho" para sempre.
07-02-2014
JoanMira
5.2.20
Poème - regrets éternels
Ta douleur mon ego, sera donc éternelle ?
Et les tristes discours
L'augmenteront toujours ?
Le malheur de ta femme au tombeau descendue
Par un commun trépas,
Est-ce quelque dédale où ta raison perdue
Ne se retrouve pas ?
Elle était du monde, où les plus belles choses
Ont le pire destin ;
Et rose elle a vécu ce que vivent les roses,
L'espace d'un matin.
05-02-2020
JoanMira
(inspiré en Malherbe)
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