Les taux grecs et portugais dépassaient à nouveau vendredi leur plus haut historique depuis la mise en place de la monnaie unique européenne et les taux irlandais se tendaient alors que les pressions pour restructurer les dettes de ces pays se multiplient.
A 11H00 (09H00 GMT), les taux grecs à 10 ans grimpaient à 13,176% contre 13,156% la veille à la clôture. Les taux à 2 ans s'établissaient de leur côté à 17,899% contre 17,829% jeudi soir à la clôture.
Les taux portugais à 10 ans montaient pour leur part à 8,826% contre 8,767% la veille.
"De plus en plus de personnes très écoutées par les marchés évoquent une restructuration de la dette pour plusieurs pays de la zone euro", a commenté Patrick Jacq, stratégiste obligataire chez BNP Paribas.
Ainsi, pour Mohamed El-arian, PDG de Pacific Investment Management Company (PIMCO), le plus gros fonds de gestion obligataire au monde, une restructuration des dettes grecque, portugaise et irlandaise est inévitable alors que l'Espagne devrait être épargnée, selon un entretien accordé jeudi soir à la chaîne américaine CNBC.
Les marchés envisagent depuis plusieurs semaines un tel scénario, conforté récemment par certains dirigeants européens. Jeudi, le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble avait affirmé que "des mesures supplémentaires" pourraient être prises pour trouver une solution à l'endettement de la Grèce. Dans le sillage de cette déclaration, les taux grecs à 10 ans avaient franchi pour la première fois le seuil symbolique des 13%.
"On pensait que la demande d’aide financière du Portugal allait apaiser les craintes mais comme aucune solution globale et pérenne n'est pour l'instant en place, l'incertitude augmente", a commenté un analyste sous couvert d'anonymat.
Dernière pression en date, l'agence de notation Moody's Investors Service a abaissé de deux crans la note de l'Irlande de "Baa1" à "Baa3", reléguant l'île au plus bas niveau possible pour les emprunteurs fiables, en raison de la dégradation des perspectives économiques du pays.
Dans le sillage de cet abaissement, les taux longs irlandais montaient à 9,266% contre 9,157% jeudi soir.
A 11H00 (09H00 GMT), les taux grecs à 10 ans grimpaient à 13,176% contre 13,156% la veille à la clôture. Les taux à 2 ans s'établissaient de leur côté à 17,899% contre 17,829% jeudi soir à la clôture.
Les taux portugais à 10 ans montaient pour leur part à 8,826% contre 8,767% la veille.
"De plus en plus de personnes très écoutées par les marchés évoquent une restructuration de la dette pour plusieurs pays de la zone euro", a commenté Patrick Jacq, stratégiste obligataire chez BNP Paribas.
Ainsi, pour Mohamed El-arian, PDG de Pacific Investment Management Company (PIMCO), le plus gros fonds de gestion obligataire au monde, une restructuration des dettes grecque, portugaise et irlandaise est inévitable alors que l'Espagne devrait être épargnée, selon un entretien accordé jeudi soir à la chaîne américaine CNBC.
Les marchés envisagent depuis plusieurs semaines un tel scénario, conforté récemment par certains dirigeants européens. Jeudi, le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble avait affirmé que "des mesures supplémentaires" pourraient être prises pour trouver une solution à l'endettement de la Grèce. Dans le sillage de cette déclaration, les taux grecs à 10 ans avaient franchi pour la première fois le seuil symbolique des 13%.
"On pensait que la demande d’aide financière du Portugal allait apaiser les craintes mais comme aucune solution globale et pérenne n'est pour l'instant en place, l'incertitude augmente", a commenté un analyste sous couvert d'anonymat.
Dernière pression en date, l'agence de notation Moody's Investors Service a abaissé de deux crans la note de l'Irlande de "Baa1" à "Baa3", reléguant l'île au plus bas niveau possible pour les emprunteurs fiables, en raison de la dégradation des perspectives économiques du pays.
Dans le sillage de cet abaissement, les taux longs irlandais montaient à 9,266% contre 9,157% jeudi soir.
CONCLUSION: NOUS NE PAIERONS PAS ET QUAND L'EURO S'EFFONDRERA...NOUS VERRONS BIEN QUI RIRA !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire