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7.10.14

Texto - Ebola - O virus "Nuno Crasso" - O imprevidente parolo


No rectângulo magico nada, ou raramente, pouco acontece; 
Porque relacionar Nuno Crasto com a violenta epidemia que esta a preocupar o mundo inteiro? 
E facto, o “Ebola” não é bola; nao se trata de brincadeira onde depois de valentes pontapés no “esférico” (ou em outros “objectos”) vamos todos ao duche no balneário e retomamos a vida normal. 
Não, o “Ebola” não é bola; não é brincadeira nenhuma…é talvez a maior epidemia mundial depois da SIDA dos anos 80. O Mundo esta mobilizado contra esta nova peste contemporânea… E Portugal? Que faz? Que medidas tomou? 
Admirava se constatássemos alguma liderança no caso! 
De facto, o governo de Portugal queda-se no imobilismo do costume: fé em Deus e que a praga não ultrapasse o magico rectângulo! 
Governar não é só perceber chorudos vencimentos; governar é PREVER!
Prova disso é como o ministro “Crasso” geriu a edução nacional…Exemplar… E o 1* ministro nem sequer lhe mandou dar uma curva conjunta!  
Ao ver como Peter Steps Rabbit y sus muchachos (incluindo a nódoa Nuno “Crasso) têm dirigido o Pais, podemos esperar o pior (sem obviamente o desejar). 
Alegre-se leitor, o “Ebola” não vai passar pelas fronteiras do rectângulo magico. Caso contrario…. A Cavacos, Coelhos, Doors, e tantos outros animais de rapina só restara o "hara kiri" dos japoneses. Fora! 
07-10-2014 
JoanMira

Ebola: On ne rigole plus!

 

La confirmation d'un cas d'Ebola dont la contamination s'est produite dans un hôpital de Madrid a réveillé les réseaux sociaux espagnols, qui fustigent les négligences du gouvernement et les "failles" dans le protocole sanitaire. Certains appellent même à la démission de la ministre de la Santé.



"[La ministre de la Santé] Ana Mato met en place un dispositif pour contrer Ebola en Espagne", raille cet internaute sur Twitter.
 
"[La ministre de la Santé] Ana Mato met en place un dispositif pour contrer Ebola en Espagne", raille cet internaute sur Twitter.
L'émotion nous pousse au partage, observe le blog Verne, du quotidien El País. "C'est pourquoi, dans les moments de grande émotion collective [...], on observe des pics de participation et d'audience sur les réseaux sociaux." Cela se vérifie en ce moment, puisque depuis la découverte ce 6 octobre d'un cas de contamination du virus Ebola sur le sol espagnol, les réseaux sociaux sont saturés de messages de toute sorte sur le sujet.
Parmi les infographies explicatives et les affiches de la police pour éviter de fausses alertes, on trouve ainsi de nombreux commentaires ironiques ou des photos de l'hôpital où est soignée la patiente. Depuis l'annonce de cette contamination, la polémique enfle en Espagne, et la ministre de la Santé, Ana Mato, se trouve dans le viseur des critiques à propos des failles dans le protocole sanitaire.


Un journaliste ricane, rappelant,
communiqué de presse à l'appui, qu'il y a quelques semaines Ana Mato avait annoncé que l'Espagne offrait "son expérience" à l'Union européenne face à Ebola. "Ana Mato met en place un dispositif pour contrer Ebola en Espagne", raille un autre twitto, à côté de cette image.
D'après le journal El Mundo, plusieurs professionnels de la santé se sont mobilisés devant l'hôpital Carlos-III de Madrid, qui s'occupe de l'infirmière contaminée par le virus, et demandent la démission de la ministre.

Avant que le diagnostic ne soit confirmé, l'infirmière s'était rendue à l'hôpital d'Alcorcón (à proximité de la capitale) pour les premiers examens. Là, les mesures de prévention auraient été très faibles : un paravent, quelques
rubans et pas de protection pour l'équipe. El Mundo rapporte des conversations par textos entre des membres du personnel dans lesquelles s'exprimait l'inquiétude face au manque de mesures.

Autre photo, celle de @JL69 : "Voici le Protocole d'intervention contre Ebola à l'hôpital d'Alcorcón. #AnaMatoDémission #MatonDémission"

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Courrier International

Atençao virus Ebola - A catastrofe chega às nossas portas


Principaux points

  • La maladie à virus Ebola (autrefois appelée aussi fièvre hémorragique à virus Ebola) est une maladie grave, souvent mortelle chez l’homme.
  • Le virus se transmet à l’homme à partir des animaux sauvages et se propage ensuite dans les populations par transmission interhumaine.
  • Le taux de létalité moyen est d’environ 50%. Au cours des flambées précédentes, les taux sont allés de 25% à 90%.
  • Les premières flambées de maladie à virus Ebola sont survenues dans des villages isolés d’Afrique centrale, à proximité de forêts tropicales, mais la récente flambée en Afrique de l’Ouest a touché de grands centres urbains aussi bien que des zones rurales.
  • La participation de la communauté est essentielle pour juguler les flambées. Pour être efficace, la lutte doit se fonder sur un ensemble d’interventions : prise en charge des cas, surveillance et recherche des contacts, services de laboratoire de qualité, inhumations sans risque et mobilisation sociale.
  • Les soins de soutien précoces axés sur la réhydratation et le traitement symptomatique améliorent les taux de survie. Aucun traitement homologué n’a pour l’instant démontré sa capacité à neutraliser le virus, mais plusieurs traitements (dérivés du sang, immunologiques ou médicamenteux) sont à l’étude.
  • Il n’existe actuellement aucun vaccin homologué contre la maladie à virus Ebola, mais deux candidats sont en cours d’évaluation.

Informations générales

Le virus Ebola provoque une maladie aiguë et grave, souvent mortelle si elle n’est pas traitée. La maladie à virus Ebola est apparue pour la première fois en 1976, lors de deux flambées simultanées à Nzara (Soudan) et à Yambuku (République démocratique du Congo). Yambuku étant situé près de la rivière Ebola, celle-ci a donné son nom à la maladie.
La flambée qui sévit actuellement en Afrique de l’Ouest (dont les premiers cas ont été notifiés en mars 2014) est la plus importante et la plus complexe depuis la découverte du virus en 1976. Elle a produit plus de cas et de décès que toutes les précédentes flambées réunies. Cette flambée a également comme particularité de s’être propagée d’un pays à l’autre, partant de la Guinée pour toucher la Sierra Leone et le Libéria (en traversant les frontières terrestres), le Nigéria (par l’intermédiaire d’un seul voyageur aérien) et le Sénégal (par l’intermédiaire d’un voyageur arrivé par voie terrestre).
Les pays les plus touchés (la Guinée, la Sierra Leone et le Libéria) ont des systèmes de santé très fragiles, manquent de ressources humaines et d’infrastructures et sortent à peine de longues périodes de conflits et d’instabilité. Le 8 août, le Directeur général de l’OMS a déclaré que cette flambée constituait une urgence de santé publique de portée internationale.
Une flambée distincte, sans lien avec celle en Afrique de l’Ouest, s’est déclarée dans le district de Boende, une région isolée de la province de l’Équateur, en République démocratique du Congo.
La famille de virus Filoviridae compte trois genres : Cuevavirus, Marburgvirus et Ebolavirus. Cinq espèces ont été identifiées : Zaïre, Bundibugyo, Soudan, Reston et Forêt de Taï. Les trois premières ont été associées à d’importantes flambées Afrique. Le virus à l’origine de la flambée 2014 en Afrique de l’Ouest appartient à l’espèce Zaïre.

Transmission

On pense que les chauves-souris frugivores de la famille des Pteropodidae sont les hôtes naturels du virus Ebola. Celui-ci s’introduit dans la population humaine après un contact étroit avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques d’animaux infectés comme des chimpanzés, des gorilles, des chauves-souris frugivores, des singes, des antilopes des bois ou des porcs-épics retrouvés malades ou morts dans la forêt tropicale.
Il se propage ensuite par transmission interhumaine, à la suite de contacts directs (peau lésée ou muqueuses) avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques de personnes infectées, ou avec des surfaces et des matériaux (par exemple, linge de lit, vêtements) qui ont été contaminés par ce type de liquides.
Des agents de santé se sont souvent infectés en traitant des cas suspects ou confirmés de maladie à virus Ebola. Cela s’est produit lors de contacts étroits avec les patients, lorsque les précautions anti-infectieuses n’ont pas été strictement appliquées.
Les rites funéraires au cours desquels les parents et amis du défunt sont en contact direct avec la dépouille peuvent également jouer un rôle dans la transmission du virus Ebola.
Les sujets atteints restent contagieux tant que le virus est présent dans leur sang et leurs liquides biologiques, y compris le sperme et le lait maternel. Le sperme peut continuer de transmettre le virus jusqu’à sept semaines après la guérison clinique.

Symptômes

La durée d’incubation, c’est-à-dire le temps écoulé entre l’infection par le virus et l’apparition des premiers symptômes, varie de 2 à 21 jours. Tant qu’ils ne présentent pas de symptômes, les sujets humains ne sont pas contagieux. Les premiers symptômes sont une fatigue fébrile à début brutal, des douleurs musculaires, des céphalées et un mal de gorge. Ils sont suivis de vomissements, de diarrhée, d’une éruption cutanée, de symptômes d’insuffisance rénale et hépatique et, dans certains cas, d’hémorragies internes et externes (par exemple, saignement des gencives, sang dans les selles). Les analyses de laboratoire révèlent une baisse de la numération leucocytaire et plaquettaire, ainsi qu’une élévation des enzymes hépatiques.

Diagnostic

La maladie à virus Ebola peut être difficile à distinguer d’autres maladies infectieuses comme le paludisme, la fièvre typhoïde et la méningite. Les investigations suivantes servent à confirmer que l’infection par le virus Ebola est bien la cause des symptômes :
  • titrage immunoenzymatique (ELISA)
  • tests de détection par capture de l’antigène
  • test de séroneutralisation
  • transcription inverse suivie d’une réaction en chaîne par polymérase (RT-PCR)
  • microscopie électronique
  • isolement du virus sur culture cellulaire.
Les échantillons provenant des patients présentent un risque biologique extrême. Par conséquent, les analyses de laboratoire effectuées sur les échantillons non inactivés devraient respecter les conditions de confinement les plus rigoureuses possible.

Traitement et vaccins

La réhydratation de soutien par voie orale ou intraveineuse et le traitement des symptômes spécifiques améliorent les taux de survie. Aucun traitement disponible n’a pour l’instant fait ses preuves contre la maladie à virus Ebola. Néanmoins, toute une gamme de traitements potentiels, y compris des produits sanguins, des thérapies immunitaires et des traitements médicamenteux sont en cours d’évaluation. Aucun vaccin homologué n’est encore disponible, mais on évalue actuellement l’innocuité de deux vaccins potentiels chez l’homme.

Prévention et lutte

Pour combattre efficacement la flambée, il faut mettre en œuvre un ensemble d’interventions : prise en charge des cas, surveillance et recherche des contacts, services de laboratoire de qualité, inhumations sans risque et mobilisation sociale. La participation de la communauté est essentielle pour juguler les flambées. La sensibilisation aux facteurs de risque de l’infection par le virus Ebola et aux mesures de protection possibles est un moyen efficace pour réduire la transmission chez l’homme. Les messages sur la réduction des risques devront porter sur les facteurs suivants :
  • Réduction du risque de transmission entre les animaux sauvages et l’homme par contact avec des chauves-souris frugivores ou des singes/primates infectés et par la consommation de leur viande crue. Il faut manipuler les animaux avec des gants et porter d’autres vêtements de protection adaptés. Les produits issus de ces animaux (sang et viande) doivent être cuits soigneusement avant d’être consommés.
  • Réduction du risque de transmission interhumaine provenant de contacts directs ou rapprochés avec des sujets présentant des symptômes d’Ebola, en particulier avec leurs liquides biologiques. Il faut porter des gants et un équipement de protection individuelle adapté lorsque l’on s’occupe des malades à domicile. Il faut également se laver systématiquement les mains après avoir rendu visite à des patients à l’hôpital ou après s’être occupé de malades à domicile.
  • Mesures d’endiguement de la flambée y compris l’inhumation rapide et sans risque des défunts, l’identification des sujets susceptibles d’avoir été en contact avec une personne infectée par le virus Ebola, le suivi de l’état de santé des contacts pendant 21 jours, la séparation sujets sains/malades en vue de prévenir la propagation, une bonne hygiène et le maintien d’un environnement propre.

Lutte contre l’infection dans les établissements de soins

Les agents de santé doivent toujours appliquer les précautions standard lorsqu’ils s’occupent des patients, quel que soit le diagnostic présumé. Ces précautions portent sur les règles de base en matière d’hygiène des mains, l’hygiène respiratoire, le port d’un équipement de protection individuelle (pour se protéger des éclaboussures ou d’autres contacts avec des matières infectées) et la sécurité des injections et des rites funéraires.
Les agents de santé qui s’occupent de cas suspects ou confirmés d’infection à virus Ebola doivent, en plus des précautions d’usage, prendre d’autres mesures de lutte anti-infectieuse pour éviter tout contact avec le sang ou les liquides biologiques du patient ou avec des surfaces et des matériaux contaminés comme les vêtements et le linge de lit. Lors des contacts proches avec les malades (c’est-à-dire à moins d’un mètre), ils doivent porter une protection du visage (écran facial, ou masque chirurgical et lunettes de protection), une blouse propre, non stérile à manches longues, et des gants (stériles pour certains actes médicaux).
Les employés des laboratoires sont également exposés au risque. Les échantillons qui ont été prélevés sur des sujets humains ou des animaux afin de rechercher infection au virus Ebola doivent être manipulés par du personnel formé et traités dans des laboratoires suffisamment équipés.

Astronomy picture of the day 07-10-2014 - From the Temple of the Sun to the Temple of the Moon

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From the Temple of the Sun to the Temple of the Moon
Image Credit & Copyright: Dave Lane

Explanation: What connects the Sun to the Moon? Many answers have been given throughout history, but in the case of today's featured image, it appears to be the plane of our Milky Way Galaxy. The 16-image panorama was taken in Capitol Reef National Park, Utah, USA where two sandstone monoliths -- the Temple of the Moon on the left and the Temple of the Sun on the right -- rise dramatically from the desert. Each natural monument stands about 100 meters tall and survives from the Jurassic period 160 million years ago. Even older are many of the stars and nebula that dot the celestial background, including the Andromeda Galaxy. Tomorrow the Earth will connect the Sun to the Moon by way of its shadow: a total lunar eclipse will be visible from many locations around the globe.

Cavaco e o veneno destilado

Aparentemente o Presidente da República alinha com 89 por cento dos inquiridos num Eurobarómetro, por ele citado no discurso deste 5 de Outubro, que "tendem a não confiar nos partidos políticos" e com os 73 por cento "insatisfeitos sobre o modo como a democracia funciona no nosso país". A cura para essa desconfiança, que Cavaco Silva estende ao exercício de funções na administração pública, é o "compromisso".
Acontece que o compromisso entre as forças partidárias dominantes deu-nos a adesão à Comunidade Económica Europeia e, depois, à moeda única. Levou-nos à perda parcial da independência nacional, com assinaturas de tratados cruciais sem debate político sério nem consulta ao povo.
Esse mesmo compromisso transformou o Estado numa agência de empregos para militantes partidários, numa máquina de subsidiação da preguiça e da estupidez, num monstro de expansão urbanística e de destruição da natureza, num produtor infinito de asfalto, num viciado capturado pela indústria farmacêutica, num cúmplice da incompetência judiciária e judicial, num perpetuador de caciques locais, num traficante bancário, num liquidatário da agricultura e das pescas, num experimentalista na educação das nossas crianças, num ilusionista da economia privada, num consciente promotor do individualismo, do hedonismo, do consumismo, do egoísmo, do populismo e do sebastianismo.
O compromisso entre as forças partidárias dominantes distribuiu uma infinidade de milhões e milhões de contos, de ecus e de euros, emprestados pela Europa, de forma cronicamente incompetente, clientelar e corrupta.
Este compromisso, estrutural, levou-nos ao problema conjuntural: uma enorme dívida, pública e privada, que pagamos através da criação acelerada de pobres...
 
Cito as duas frases cruciais do Presidente: "O sistema eleitoral proporcional só permite uma governabilidade estável e duradoura se for acompanhado de entendimentos partidários de curto e médio prazo" e "mantendo-se a tendência das forças partidárias para rejeitarem uma cultura de compromisso, não é de excluir, sem qualquer dose de alarmismo, um aumento dos níveis de abstenção para limiares incomportáveis ou a implosão do sistema partidário português tal como o conhecemos."
O que Cavaco Silva não vê é que o compromisso entre as forças partidárias dominantes, materializado em inúmeros governos estavelmente desastrosos, incluindo os dele, tem sido um veneno para a democracia. É menos intenso do que a instabilidade violenta da Primeira República, mas igualmente candidato a ser letal para o regime.
PEDRO TADEU