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Une caserne pour les musulmans du XVIIIe arrondissement de Paris?

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C’est un immense hangar, près de la porte des Poissonniers, à la frontière nord du XVIII arrondissement de Paris, entre le boulevard Ney et le périphérique, à l'angle de la rue Jean-Cocteau et de l'avenue de la porte des Poissonniers.
D'après des informations recueillies par Libération, la préfecture de police (PP) de Paris envisage d’y loger les musulmans qui prient, chaque vendredi, rue Myrha et rue Polonceau.
Hier, Hamza Salah, le recteur de la mosquée de la rue Myrha, a visité les lieux en compagnie de représentants de la PP et du ministère de l'Intérieur.
Moussa Diakité, recteur de la mosquée de la rue Polonceau a fait de même, il y a quelques jours. "Depuis plusieurs mois, la préfecture cherche des locaux permettant de résoudre le problème des prières de rue", affirme Daniel Vaillant, le maire PS du XVIIIe arrondissement.
Marine Le Pen en ayant fait un argument de campagne, le gouvernement veut y apporter une solution. Il y a un mois environ, la préfecture de Paris a découvert l’existence de ce site, propriété du ministère de la Défense. Une partie des bâtiments est utilisée par l’association Adoma pour loger des sans-abri.
L’autre, d’une surface de près de 1 500 m, est inoccupée depuis deux ans et sans affectation, pour l'instant. D’où l’idée d’y faire cohabiter les musulmans maghrébins de la mosquée de la rue Myrha et subsahariens de la rue Polonceau.
Dans quelles conditions ? "Il semblerait que les autorités se soient mises d’accord pour pour ouvrir des lieux de culte provisoires afin d’éviter prière dans la rue. Mais est-ce que cela va se faire sur les deniers publics?» interroge Daniel Vaillant.
La loi de 1905 interdisant à l’Etat de financer les cultes, il ne peut mettre les lieux gracieusement à la disposition des fidèles de l’islam. Une convention d'occupation précaire devrait être signée entre les deux parties, les associations musulmanes payant un loyer. Sur quelle base sera-t-il calculé, sachant que ces locaux ne seraient utilisés que quelques heures par semaine ? Les services fiscaux feraient chauffer les calculettes.
Les travaux de mise aux normes de sécurité (électricité, chauffage) seraient effectués par l'Etat et répercutés sous forme de loyer complémentaire.
Autre question : qui paiera les frais de fonctionnement (gardiennage ou chauffage) ?
Enfin, les musulmans sont-ils prêts à financer les travaux nécessaires pour transformer un hangar en lieu de culte ? D’après un spécialiste du dossier, le coût de ces aménagements – dont des salles d’ablutions – pourrait se monter à près de 180 000 euros. Trop cher ? La question se pose d’autant plus que l’utilisation de ces locaux serait provisoire. Ces lieux sont destinés, en effet, à être vendus.
La mairie de Paris construit dans le quartier de la Goutte d’or, où se trouvent les rues Myrha et Polonceau, un Institut des cultures d’islam comprenant deux salles de prière d'une capacité de 1000 personnes environ chacune selon Daniel Vaillant. Pas beaucoup plus que les capacités d'accueil actuelles des locaux existants.
Ces deux salles seraient revendues aux associations musulmanes. Montant de la facture : "de l'ordre de 6 à 7 millions d'euros", précise le maire du XVIIIe. "Il n'est pas question que la ville en fasse cadeau", ajoute-t-il.
Daniel Vaillant veut croire que ce dernier projet résoudra définitivement le problème des prières de rue. Pas sûr, puisque certains musulmans, dont Hamza Salah, le recteur de la mosquée de la rue Myrha, refusent de s’y associer, par crainte de perdre leur indépendance en passant sous les fourches caudines de la mairie de Paris.
Liberation

Taux de radioactivité alarmant à Fukushima


Vue du 3e réacteur de la centrale nucléaire de Fukushima, le 10 avril 2011 au Japon.

Des niveaux de radioactivité jusqu'à quatre fois supérieurs à la limite légale ont été mesurés dans les sols de la ville de Fukushima, à 60 kilomètres de la centrale nucléaire accidentée, ont annoncé des associations de résidents qui ont demandé l'évacuation des enfants.
Une des quatre mesures effectuée dans cette cité de près de 300.000 habitants a fait état d'un taux de césium radioactif de 46.540 becquerels par kilogramme, alors que le taux maximum légal est de 10.000 becquerels au Japon. Les trois autres prélèvements ont fait apparaître des taux compris entre 16.290 et 19.220 becquerels.
Selon le regroupement d'associations à l'initiative de l'étude, ce niveau dépasse le seuil à partir duquel les autorités soviétiques ont procédé à l'évacuation des populations après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl en 1986. Le collectif a appelé les autorités à évacuer les femmes enceintes et les enfants vivant à Fukushima.

Evacuation «au plus vite»

"La contamination des sols s'étend dans la ville", a prévenu l'auteur des analyses, Tomoya Yamauchi, professeur à l'Université de Kobe spécialiste des radiations. "Les enfants jouent avec la terre, ils jouent donc avec des substances hautement radioactives. L'évacuation doit être décrétée au plus vite", a-t-il souligné.
Quelque 160.000 personnes riveraines de la centrale ont évacué leur maison depuis l'accident nucléaire. Environ la moitié a regagné son domicile depuis mais les autres, qui vivaient dans un rayon de 20 km du site pour la plupart, ne sont pas retournées chez elles.
Provoqué par le séisme de magnitude 9 et le tsunami géant qui ont dévasté le nord-est du Japon le 11 mars, l'accident de la centrale Fukushima Daichi (Fukushima N°1) a entraîné d'importants rejets radioactifs dans l'atmosphère, l'eau de mer et les sols de la préfecture de Fukushima.
(Source AFP)

E.Coli: la piste des graines égyptiennes se confirme

L'étau se resserre dans l'enquête sur les diverses intoxications à l'E.Coli en France et en Allemagne . Un lot de graines importées d'Egypte en 2009 est en effet désormais considéré comme le lien «le plus probable» de ces contaminations à grande échelle, d'après l'agence européenne de sécurité alimentaire EFSA.
L'agence a demandé mardi à la Commission européenne de prendre les mesures nécessaires pour éviter de nouvelles contaminations et un retrait des graines provenant de ce lot pourrait être décidé dès mardi par l'UE, selon une source européenne.

«L'enquête de traçabilité menée par l'EFSA a conclu qu'un lot de graines de fenugrec (plante herbacée proche du trèfle) importées d'Egypte est le lien le plus probable entre les deux épidémies» en Allemagne et en France, a annoncé l'Agence basée à Parme (Italie) dans un rapport publié en ligne sur son site internet.

L'EFSA avait déjà évoqué la piste égyptienne dans un communiqué publié le 29 juin. Mais le ministère égyptien de l'Agriculture avait écarté le 1er juillet la responsabilité de graines produites dans son pays.

Plusieurs lots de graines pourraient être incrimin
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Le fenugrec est une plante aux feuilles ovales, proches du trèfle. Ses graines sont utilisées dans l'alimentation car elles sont très riches en phosphore ou magnésium notamment. Il peut être utilisé comme engrais dans l'agriculture biologique. Le lot incriminé, d'un volume de 15 tonnes, a été importé en 2009 en Allemagne, puis ensuite redistribué dans d'autres pays, notamment en France. L'EFSA estime que d'autres lots importés d'Egypte pendant la période 2009-2010 pourraient également être incriminés et précise qu'elle poursuit son enquête de traçabilité.

Le Parisien

DSK recusou-se a pagar por sexo. Confirma-se que "vítima" é prostituta


A mulher que acusou de agressão sexual Dominique Strauss-Kahn (DSK), comprometendo a carreira política daquele que era então o director máximo do FMI e provável candidato socialista às presidenciais francesas, terá alegadamente ficado furiosa quando ele recusou pagar os seus serviços sexuais. Quem o afirma é o ‘New York Post’, segundo o qual a empregada do Sofitel de Manhattan, identificada como Nafissatou Diallo, é uma prostituta que habitualmente se envolvia com clientes do hotel.
Citando uma "fonte da Procuradoria", o ‘New York Post’ assegura que a empregada fez de livre vontade sexo oral e anal com DSK e, perante a recusa deste em pagar, terá inventado a versão da violação. "Ela esperava ser paga, mas ele voltou-lhe as costas", terá afirmado a fonte, dizendo ainda que, ao contrário da versão contada à polícia, não fugiu do quarto de imediato para denunciar o crime. Terá mesmo ficado quase dez minutos no local enquanto ele se vestia.
O jornal acusa ainda Nafissatou de ter continuado a prostituir-se durante as semanas que passou hospedada num hotel de Brooklyn, para onde foi levada pelos investigadores para evitar que fosse identificada pela Imprensa após apresentar queixa. "Enquanto estava sob nossa supervisão teve múltiplos encontros no hotel, à custa das autoridades", referiu a fonte.
O ‘Post’ afirma ainda que dois investigadores que desde o início duvidaram da credibilidade da alegada vítima foram afastados do caso. O responsável do Ministério Público de Nova Iorque, Dan Alonso, não queria dúvidas e exigiu à restante equipa que centrasse as atenções na revelação dos ‘podres’ de Strauss-Kahn.