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15.8.12

Imagens do Mundo - Enfer en Espagne


<strong>L'enfer.</strong> C'est sur terre et par les airs que les pompiers luttent contre les incendies qui ravagent l'Espagne. Le week-end dernier, les flammes ont emporté pas moins de 12.000 hectares dans la commune de Barco de Valdeorras, en Galicie. Des avions Canadair ont survolé les feux de forêts pour y déverser du «retardant», tandis qu'au sol les soldats du feu, armés de lances d'incendie, tentaient de stopper l'avancée du brasier. Dans l'archipel des Canaries, 4700 personnes ont dû quitter leur foyer pour fuir la fournaise. Ces feux ont fait deux victimes parmi les pompiers.

L'enfer. C'est sur terre et par les airs que les pompiers luttent contre les incendies qui ravagent l'Espagne. Le week-end dernier, les flammes ont emporté pas moins de 12.000 hectares dans la commune de Barco de Valdeorras, en Galicie. Des avions Canadair ont survolé les feux de forêts pour y déverser du «retardant», tandis qu'au sol les soldats du feu, armés de lances d'incendie, tentaient de stopper l'avancée du brasier. Dans l'archipel des Canaries, 4700 personnes ont dû quitter leur foyer pour fuir la fournaise. Ces feux ont fait deux victimes parmi les pompiers. Crédits photo : LORENZO COUTO/AFP

Article - Sénégal: Une presse complice de l’obscurantisme

A Dakar, une foule d’infirmes, de malades et de curieux assoiffés de miracles s’est bousculée mi-juillet pour assister au grand show de Dag Heward-Mills, pasteur guérisseur autoproclamé d’origine ghanéenne. Engagé dans une tournée africaine, ce religieux loufoque promet à ses ouailles rédemption et “guérison miraculeuse”.



Heward-Mills ne prêche pas dans le désert. Il vient dans un pays où, la presse aidant, charlatans, vendeurs d’illusions, voyants et guérisseurs de toutes sortes pullulent et inondent le quotidien des Sénégalais, relayés par la radio, la télévision, la presse écrite et le web. Heward-Mills a choisi ce 18 juillet 2012 un terrain vague dans le populeux quartier de Khar Yalla, où des milliers de Sénégalais, toutes religions confondues, sont venus admirer ses “miracles”. En dépit d’une mise en scène évidente avec des malades suspects, la formule fonctionne.

Malgré ses aspirations à la “modernité”, le Sénégal, un pays qui se vante d’être peuplé de musulmans à 95 %, reste encore ancré dans des croyances irrationnelles. Une bonne partie de la presse relaie aveuglément offres de guérison miraculeuse et prédictions. Ainsi, le jour même où le pasteur s’époumonait à Khar Yalla, le pays tout entier retenait son souffle : une dame du nom de Selbé Ndom, subitement sortie de l’anonymat à la faveur de quelques pronostics sur des combats de lutte, prédisait un crash d’avion.



Relayée par la presse et désormais présentée comme “une célèbre voyante”, Selbé Ndom annonçait qu’un avion allait s’écraser sur le campus de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad). Et la panique de s’installer dans ce qui est supposé être l’antre du savoir, poussant une frange de la population à s’interroger sur le rôle des médias dans la société. 


“Tout ce qui est dit à la radio est vrai”



De fait, comme subjuguée par ces faiseurs de miracles, la presse médiatise à outrance voyants, cérémonies de divination, guérisseurs, féticheurs… Cette cohorte hétéroclite n’est plus confinée dans les petites annonces ou les faits divers, mais occupe allègrement la une des médias. Pas étonnant alors que tous ces vendeurs de miracles rencontrent un énorme succès.

Outré par la légèreté de certains de ses confrères, Kader Diop, l’un des journalistes les plus respectés du pays et ancien président du Comité pour le respect de l’éthique et de la déontologie (Cred) dénonce des pratiques journalistiques qui “installent les gens dans l’obscurantisme”. Kader regrette que “les prophéties des voyants [soient] diffusées sans aucune distance critique par la majorité des médias sénégalais et éclipsent souvent les analyses des experts”.

Pour M. Diop, ce type d’information devrait tout au plus être traité de façon anecdotique, dans la rubrique “insolites”, plutôt que de figurer au-devant de l’actualité. D’autant plus, souligne-t-il, que “pour les Sénégalais tout ce qui est écrit ou dit à la radio est vrai”. Il dénonce également le laxisme des autorités, qui font elles-mêmes partie du problème puisqu’elles font appel aux charlatans et marabouts, qu’il s’agisse d’assurer une victoire électorale ou une promotion. Le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA, autorité publique) a pourtant récemment épinglé les “publicités mensongères” pour des offres miraculeuses diffusées de manière récurrente sur plusieurs stations.

Ibrahima Mbengue, professeur de sociologie à l’Ecole supérieure de journalisme, des métiers de l’Internet et de la communication (Ejicom), accuse la forte influence de l’univers de l’occulte chez les Sénégalais, y compris dans la manière dont les journalistes abordent les sujets. Le sociologue y voit un véritable cercle vicieux. “Croire aux pouvoirs magiques fait partie de la mentalité sénégalaise, même parmi les élites, les concitoyens ont une vision du monde où l’homme baigne dans un univers occulte”, explique-t-il. “La médiatisation des “manifestations surnaturelles” ne ferait donc qu’amplifier ce phénomène de société. De surcroît, si ces “informations” occupent une telle place, c’est “qu’elles ont une forte valeur marchande”, rappelle M. Mbengue. “La majorité des journalistes y croient, et même si ce n’est pas le cas, ils sont obligés de relayer l’information, car tout le monde y croit.”
Courrier International - France     

CGD recusa conceder crédito a empresa em que Relvas foi consultor

<p>Empréstimo seria na ordem dos milhões de euros</p>
A Caixa Geral de Depósitos recusou, por razões de risco, um empréstimo na ordem dos milhões de euros à Alert Life Sciences Computing, uma empresa em que Miguel Relvas foi o pivô da afirmação da multinacional de software clínico no mercado brasileiro. O pedido de crédito, pelas suas conexões políticas e pelo facto de esta empresa operar em mercados externos, foi abordado ao mais alto nível dentro do grupo público, mas foi travada pela direcção comercial do Norte.

O negócio previa o fornecimento pela empresa portuguesa de 8000 licenças de um software para triagem de doentes em estado de emergência. A imprensa paulista revelou que cerca de 90% dos pontos de atendimento dos serviços de urgência, contemplados no contrato, não dispunham de computadores, de equipamento médico, de energia ou de acesso à Internet, condições para que o programa pudesse funcionar.
PUBLICO

Negocio "à Relvas"...
Obvio, não é? Fornecer licencas de software a quem não tem computador!...
Bem..., parece-me ter chegado o tempo de afastar todos estes corruptos à paulada ou mais, se necessario. Quanto mais tempo os Portugueses vão esperar? E escândalo atras de escândalo e o Povo continua sereno e impavido...  
JOANMIRA

Les grands peintres impressionnistes - Claude Monet - 1840-1926

Claude MONET

Père de l'Impressionnisme


Monet est reconnu comme étant l'un des créateurs de l'impressionnisme, le plus convaincu et le plus constant des peintres impressionnistes, en même temps que le chef de file du mouvement impressionniste.
Depuis ses débuts comme artiste, il fut encouragé à toujours écouter et transmettre ses perceptions, et toutes les critiques qu'il dut subir ne l'éloignèrent jamais de cette quête.
Claude Monet naquit à Paris le 14 Novembre 1840 mais toutes ses impressions d'enfant et d'adolescent sont liées à la ville du Havre où sa famille déménagea vers 1845. Son père y tenait un commerce d'articles coloniaux.

Autoportrait au béret
1886


Collection particulière
L'HERITIER DE BOUDIN et JONGKIND Alors qu'il était encore au lycée, il connut une certaine notoriété en peignant des caricatures qu'il exposa dans le magasin de fournitures de dessin avec lequel Eugène Boudin travaillait à l'époque. Finalement Boudin convainquit le jeune Monet, d'abord réticent, de peindre avec lui en plein air. Monet dira plus tard : "par le seul exemple de cet artiste épris de son art et d'indépendance, ma destinée de peintre s'était ouverte". Sa famille n'était pas opposée à ce qu'il devint peintre, mais ses idées indépendantes, sa critique de la peinture académique et son refus de suivre une bonne Ecole d'Art provoquèrent des disputes répétées au sein de sa famille. Finalement, Monet commença à travailler à Paris à l'Académie Suisse, où il fit la connaissance de Pissarro et Cézanne, avant de devoir effectuer ses obligations militaires. Son service militaire en Algérie (1860-1861) fut interrompu par une grave typhoïde qui le ramena en France, où il recommença à travailler l'été 1862 avec Boudin et le peintre-paysagiste hollandais Jongkind, au Havre. Il dira à propos de Jongkind :"...complètant par là l'enseignement que j'avais reçu de Boudin ,il fut à partir de ce moment mon vrai maître, et c'est à lui que je dois l'éducation définitive de mon oeil".

La rue de la Bavolle à Honfleur
1864

Stadische Kunsthalle Mannheim ,
Allemagne
Libéré par sa tante du reste de son service militaire, il reprit des études plus sérieuses à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris, mais surtout il intégra l'Atelier d'un des professeurs de l'Ecole, le suisse Charles Gleyre, où il allait se lier d'amitié avec Bazille , Renoir et Sisley.
Dans les années 1860, ces jeunes artistes fréquentaient le Café Guerbois, un endroit où Emile Zola et Edouard Manet se rendaient souvent.
LE SALON DE PARIS ET LA NAISSANCE DU MOUVEMENT IMPRESSIONNISTE L'histoire de l'impressionnisme est indissociable de celle du Salon de Paris. L'évolution sociale, économique et culturelle du XIXième siècle avait eu pour conséquence que les oeuvres d'art allaient être créées désormais pour l'essentiel par des artistes indépendants (et non plus au service de quelque prince ou corporation). Pour ces artistes, trouver des possibilités d'exposition constituait une préoccupation existentielle. Les marchands d'art et leurs galeries allaient certes prendre une importance croissante, mais, en France, la possibilité d'exposition la plus importante et incontournable était "Le Salon de Paris".
A partir de 1863, le Salon se tient tous les ans et un jury composé de membres de l'Académie des Beaux-Arts et de précédents médaillés du Salon sélectionnent les oeuvres exposées. Pour la seule année 1863, 4000 oeuvres furent refusées sur les 5000 demandes faites par quelque 3000 artistes, ce qui conduisit en 1863 à la création du "Salon des Refusés".
Pour Monet et ses amis, Renoir, Bazille, Sisley... les années entre le Salon des Refusés et la Guerre de 1870 allaient être placées sous le signe d'une recherche inquiète de leur personnalité artistique et d'une alternance rapide de succès et d'échecs. S'ils furent, à l'exception de Cézanne, sélectionnés au Salon à leur première tentative (en 1865 pour Monet), ils essuyèrent ensuite des refus.

Régates à Sainte-Adresse
1867
Metropolitan Museum of Art
New York
Durant toute cette période, ces jeunes peintres consolidèrent les liens existant entre eux et en développèrent de nouveau, cherchant des inspirations et des thèmes picturaux nouveaux. A l'exception de ceux disposant d'une situation personnelle aisée (Degas, Caillebotte, Bazille), ils connurent des périodes d'amère pauvreté, et en particulier Monet - que Bazille aida financièrement - lorsqu'il dut assumer seul son ménage. Ils peignaient en plein air, dans les environs de Paris ou sur la Côte Normande, où l'expérience des phénomènes d'optique de la lumière et de la couleur qui les passionnaient était plus intense. Un carrefour important de l'évolution de Monet fut lorsqu'il peignit en 1869 avec Renoir une série de tableaux à La Grenouillère, un lieu de loisirs et de rencontre à Bougival très prisé des Parisiens, avec baignade, canotage et un restaurant flottant. Les toiles qu'ils peignirent en travaillant avec des touches de couleur rapides et vigoureuses, correspondant à l'animation turbulente du petit monde qui s'y pressait, marquent l'émergence d'un nouveau style artistique dominé par l'impression, inaugurant ce qui allait cinq ans plus tard être appelé "Impressionnisme".
LA JOIE DE VIVRE MALGRE LA PAUVRETE

Femmes au jardin
1867
Musée d'Orsay, Paris
En 1870, Monet épousa son modèle Camille Doncieux, qui lui avait donné son fils Jean (1867-1914); en 1878 leur deuxième fils, Michel, naquit. Camille posa pour de nombreuses toiles de Monet e.g. Les promeneurs, Femmes au jardin (Camille pose pour les 4), La femme à l'ombrelle, La japonaise , et beaucoup d'autres.
Pendant la guerre Franco-Prussienne de 1870-71 et la courte guerre civile qui suivit (la Commune) , Monet vécut à Londres et fut présenté à Paul Durand-Ruel, un important marchand d'art, qui devait contribuer beaucoup à diffuser les oeuvres impressionnistes. En 1874, dans une atmosphère de plus en plus hostile de la part des milieux officiels, Monet et ses amis formèrent un groupe et exposèrent dans leur propre salon pour la première fois. Une de ses oeuvres, "Impression, soleil levant" donna son nom au mouvement impressionniste.
A l'origine, le groupe des impressionnistes est ce petit groupe de jeunes peintres, tous âgés de trente à quarante ans, partageant une nouvelle conception de la nature et de l'art. L'acte de peindre et l'oeuvre d'art qui en résulte y sont revendiqués comme un plaisir, celui du peintre et de sa création personnelle. Dans cette nouvelle conception de l'art pour l'art, la vérité du tableau est relative parcequ'elle dépend du sujet qui le peint et du spectateur qui le regarde, et qu'il n'est pertinent qu'à un moment et sous des conditions données, ce qui souligne l'importance d'une exécution rapide, proche de l'esquisse. Au service de celle-ci la recherche des impressionnistes sur la lumière et les couleurs leur font découvrir de nouveaux procédés picturaux où la juxtaposition sur la toile des taches de couleur pure ne se fondront en un "mélange optique" que dans l'oeil du spectateur.
Les années qui suivirent virent un essor du courant impressionniste. Monet participa aux expositions du groupe de 1874, 1876, 1877, 1879 et 1882.
Durant ces années il créa des chefs-d'oeuvre tels que "La Gare Saint-Lazare" (1877) et "Rue Saint-Denis- Festivités du 30 Juin 1878" .
Cependant ses toiles trouvèrent peu d'acquéreurs. Désespérément pauvre, il rechercha constamment des lieux où la vie fut moins chère et vécut à Argenteuil de 1873 à 1878, à Vétheuil de 1879 à 1881, à Poissy en 1882, et à Giverny de 1883 à sa mort.

Gare Saint-Lazare
1877
Musée d'Orsay, Paris
Monet perdit sa femme, Camille, en 1879 ("Camille Monet sur son lit de mort", 1879).
DES JOURS MEILLEURS A GIVERNY A la fin des années 1880, ses oeuvres commencèrent à attirer l'attention du public et des critiques. La renommée lui apporta du confort et même la richesse. Monet vit alors à Giverny depuis 1883 avec ses deux fils, Alice Hoschedé et ses six enfants. Alice est la femme du propriétaire de grand magasin et collectionneur de tableaux impressionnistes Ernest Hoschedé qui fit faillite en 1878. Monet put acheter en 1890 la propriété de Giverny, dans laquelle il vivait en location, et épousera Alice (décédée en 1911) en 1892, après la mort de son mari . A cette époque, le peintre était absorbé à peindre des paysages en série : Les rochers de Belle-Ile (1886), Falaises de Belle-Ile (1886), Peupliers sur les rives de l' Epte (1890-1891).
La lumière est toujours le "personnage principal"' dans les paysages de Monet, et comme il avait toujours pour but de saisir un effet changeant, il adopta l'habitude de peindre le même sujet sous des conditions différentes de lumière, à différentes heures de la journée.
Il commença à peindre la série des meules de foin qu'il poursuivit sur deux années. Monet les peignit par temps ensoleillé ou gris, dans le brouillard ou couvertes de neige: Meules de foin, effets de neiges, matin (1890), Meule de foin , fin de l'été, matin (1891), Meule de foin au coucher du soleil près de Giverny (1891).
Meules de foin à la fin de l'été,
effets du matin
1890
Photographié au
Musée d'Orsay, Paris


La célèbre série de Monet consacrée à la Cathédrale de Rouen sous différentes lumières fut effectuée depuis la fenêtre du 2ième étage d'une boutique en face de la cathédrale. Il fit 18 vues frontales.
Changeant de canevas selon la lumière, Monet suivait les heures de la journée, depuis le petit matin avec la façade en bleu ombré de brouillard, à l'après-midi , quand le soleil disparaissant derrière les constructions de la ville, transformait l'oeuvre de pierre érodée par le temps en une étrange fabrique d'orange et de bleu : La Cathédrale de Rouen, le portail et la tour Saint-Romain à l'aube (1893-1894), La Cathédrale de Rouen, le portail et la tour Saint-Romain en plein soleil (1894), La Cathédrale de Rouen (1893-1894), La Cathédrale de Rouen au crépuscule (1894), La Cathédrale de Rouen le soir (1894)...

La cathédrale de Rouen.
Le portail et la tour St-Romain,
plein soleil.
Harmonie bleue et or
1894
Musée d'Orsay

LES DERNIERES OEUVRES A GIVERNY Monet devait vivre de 1883 jusqu'à sa mort en 1926, soit plus de quarante ans, dans sa propriété de Giverny, dont il va transformer, petit à petit, le jardin en un ensemble décoratif. Monet supprime les mauvaises herbes, les haies, bêche, sème du gazon, plante des arbres ornementaux et crée des séries de parterres de fleurs variées. Il produit également un potager pour nourrir la famille. Le soir, les enfants arrosent et désherbent souvent.
Ce qui n'était à l'origine qu'un verger normand d'herbe et de pommiers devient, avec la contribution de toute la famille, un jardin historique. C'est un travail de patience, que Monet poursuit avec amour. Même quand la tâche devient trop grande pour qu'il puisse l'assumer seul, il supervise son équipe de jardiniers (1 chef jardinier et six assistants).
Monet achète des graines et des plantes partout où il va, conclut des échanges avec d'autres jardiniers. C'est lui qui parcourt les catalogues et passe les commandes, que ce soit des graines, des pots, des cloches à melon où de ces indispensables paillassons en paille de seigle pour protéger le châssis.
En 1893, il commence l'aménagement de son célèbre "jardin d'eau" avec l'étang aux nymphéas.
En 1899, Monet étudia pour la première fois le sujet des nymphéas (espèces de nénuphars) : Les nymphéas blancs (1899). Le pont japonais (1899), Nymphéas (1914), (1917), furent les thèmes principaux de ses dernières oeuvres.

Le pont japonais
sur le bassin aux nymphéas
à Giverny
1899
Princeton University Art Museum
New-Jersey
Monet laisse une oeuvre considérable autant par la quantité (plus de 2000 oeuvres répertoriées), que par sa recherche impressionniste, expression dont il est le représentant le plus typique. Le père de l'Impressionnisme écrira d'ailleurs à ce sujet peu de temps avant sa mort :


Photo du pont japonais
sur le bassin aux nymphéas
à Giverny
J'ai toujours eu horreur des théories... Je n'ai que le mérite d'avoir peint directement, devant la nature, en cherchant à rendre mes impressions devant les effets les plus fugitifs, et je reste désolé d'avoir été la cause du nom donné à un groupe dont la plupart n'avaient rien d'impressionniste."


Photo du jardin
et de la maison de Monet
à Giverny
La propriété de Claude Monet à Giverny est aujourd'hui un lieu de visite ouvert au public. Elle est gérée et entretenue par la Fondation Claude Monet.

Photo de la maison de Monet
à Giverny
Monet légua à l'Etat quatorze grandes toiles de ses nymphéas, qui furent placées en 1927, peu après sa mort dans deux salles ovales du Musée de l'Orangerie dans le Jardin des Tuileries.

Photo du bassin aux nymphéas
à Giverny
 

Curiosa coincidência: No ano da negociata dos submarinos 1,06 milhões de euros em notas depositados por funcionários na conta do CDS no final de 2004


Montantes foram justificados como donativos recolhidos em festas e jantares do partido
Foi literalmente aos molhos que os funcionários da sede nacional do CDS-PP levaram nos últimos dias de Dezembro de 2004 para o balcão do BES, na Rua do Comércio, em Lisboa, um total de 1.060.250 euros, para depositar na conta do partido. Em apenas quatro dias foram feitos 105 depósitos, todos em notas, de montantes sempre inferiores a 12.500 euros, quantia a partir da qual era obrigatória a comunicação às autoridades de combate à corrupção.



CURIOSA COINCIDÊNCIA: NO ANO DA NEGOCIATA DOS SUBMARINOS...



Os dados constam do relatório final da investigação da Polícia Judiciária (PJ) no caso Portucale, que, no entanto, nada conclui em relação à origem daqueles montantes.

O episódio foi ontem lembrado por Paulo Portas, a propósito do negócio da compra dos submarinos, referindo que "também se disse que havia um depósito nas contas do CDS e o doutor Abel Pinheiro foi absolvido em julgamento".

Aqueles montantes foram justificados como donativos recolhidos em festas e jantares do partido, que estavam guardados nos cofres da sede nacional. O depósito apressado naqueles dias de final de ano foi explicado com a alteração da lei de financiamento dos partidos, que entrava em vigor no início de 2005 e para cujo conteúdo os responsáveis do CDS só tinham sido alertados nessa altura.

Quanto ao negócio da compra dos submarinos pelo Estado português, este foi finalizado com o consórcio alemão GSC (German Submarine Consortium) em Abril de 2004 pelo então ministro da Defesa Paulo Portas, e tem sido alvo de investigações, tanto em Portugal como na Alemanha, por suspeitas de corrupção.

No processo alemão, os dois gestores acusados decidiram admitir a actuação criminosa para obter uma pena suspensa, tendo dito que entregaram ao cônsul honorário de Portugal em Munique o montante de 1,6 milhões de euros. Este, por sua vez, disse perante a justiça alemã que manteve encontros com o ministro Paulo Portas e o primeiro-ministro Durão Barroso, para a concretização do negócio.

Frisando que os 105 depósitos do CDS no BES foram feitos entre os dias 27 e 30 de Dezembro de 2004, "muitos deles com intervalos de minutos e a grande maioria em parcelas de 10 mil euros", os investigadores da PJ descobriram também que os recibos para justificar a entrada daquelas verbas nos cofres do partido teriam sido todos passados em datas posteriores aos depósitos. Os próprios livros com os talões de recibos teriam sido encomendados já em Janeiro de 2005.

Outros dados curiosos são os que se referem à identificação dos doadores. Os funcionários da sede nacional do CDS emitiram um total de 4216 recibos, neles anotando apenas o montante e o nome do doador, notando a PJ tratar-se provavelmente de dados fictícios, exemplificando com o "sonante e anedótico nome de doador "Jacinto Leite Capelo Rego", no valor de 300 euros".

Abel Pinheiro, então responsável pelas finanças, e mais três funcionários do CDS foram acusados por falsificação de documentos. Em Abril último foram absolvidos, mas o Ministério Público recorreu para o Tribunal da Relação de Lisboa.
PUBLICO