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21.12.15

Alain Souchon & Laurent Voulzy - "Derriere les mots" - Video - Musique

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"Derriere les mots"

Texto - Antigamente - A felicidade era assim


Não é tarde nem é sempre; não é cedo nem escuro nem Alvorada também.

Se não é luz, dia também não é; soltam-se silhuetas claras no nevoeiro barreirense.
E  la vai ela para o vapor… Longe do Giraldo Sem Pavor. Évora esta longe…
Esboçam-se tristezas ou sera que são saudades.

Então Vive-se a nostalgia do tempo passado; Meu Alentejo…
E aquele carinho, no rosto de minha Mãe, é único. Aqueles perfumes
Passados no nosso Alentejo, não têm qualquer felicidade comparável!

O Padrinho Chico, a madrinha Bia, O Zé Manel,
Maria Joaquina, a Rosinha, a Martinha (desaparecida muito jovem)
A vagabundice por terras nunca antes exploradas (por nos), os medronhos
Eu em pleno sol nos destilivam a embriaguez desconhecida.

Os pirolitos e bugalhos, as gazosas com prémios sob as cápsulas…

Tantas recordações quase esquecidas no monte do Giraldo onde se encontravam miniaturas das caravelas do século XV…!!!

São tantas recordações felizes em que, nesse tempo, conseguíamos brincar com tudo o que nos aparecesse pela frente sem o auxilio de brinquedos de alta tecnologia, (que para já não existiam) …

Muito resta para contar… Será para uma próxima vez. Verão que naquele tempo dos anos “60” a malta divertia-se à farta!

Bordeaux, 21-12-215


JoanMira    

Texte - Platoche, corruption, pognon et journalistes pourris

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Pour pouvoir se présenter à l'élection présidentielle de la FIFA, programmée le 26 février, Michel Platini doit non seulement être blanchi des accusations qui lui ont valu lundi sa suspension pour huit ans abus de position», «conflit d'intérêt» et «gestion déloyale»), mais aussi obtenir cette éventuelle décision favorable d'ici au 26 janvier, date limite de dépôt des candidatures fixée par la commission électorale de la FIFA. Son poste de président de l'UEFA, qu'il occupe depuis 2007, en dépend aussi puisque la sanction s'applique «à toute activité liée au football». Il était déjà suspendu provisoirement jusqu'au 5 janvier.


Il ne reste donc que cinq semaines environ à l'ancien numéro dix et à ses conseillers pour tenter de renverser le jugement de la commission d'éthique, c'est-à-dire démontrer qu'il a "bénéficié" de 2 millions d'€uro en un claquement de doigts....

Vous y croyez vous? Moi non! pour recevoir cette somme, il nous faudrait plus que plusieurs vies! Alors il pleurniche. Il l'a bien fait le travail commandé par Sepp Blatter (autre crapule mais bien plus intelligente) sans aucun contrat écrit...

Avez-vous jamais reçu pareil magot sans contrat et, qui plus est, sans aucune preuve de votre travail?  Moi, non! A moins que cet argent n'aie servi à corrompre beaucoup de dirigeants Fifiens ou Uefiens...

La popularité de Platini en France, ne peut le dédouaner des chefs d'inculpation qui l'accablent; c'est que 2 millions d'€uro pourraient servir à nourrir des millions d'êtres humains qui n'ont même pas conscience de ce que représente cette valeur.

Mais non, je ne veux pas accabler le "rital",  l'apprenti mafioso! Mais je suis quand même heureux qu'un tel personnage ne puisse plus diriger ne serait-ce que le plus petit club de football d'Afrique noire...

De toute façon, il peut s'arrêter de "travailler" car son avenir est assuré depuis maintes générations! Grâce à qui? Mais à tous les gens qu'il a volés. 

Oui, Monsieur Platini, vous êtes un voleur sauf, peut-être pour une partie de journalistes (uniquement français) qui vous soutiennent en se rappelant, peut-être, eux-aussi, d'avoir "touché" quelque chose.

Et le journal "L'Equipe" en est encore à se demander les recours qui restent à l'accusé?!

Messieurs continuez à aller à la gamelle; inscrivez, tant que vous y êtes,  Abu Ben Zemali à votre cercle pourri et lâchez-nous la grappe.

Bordeaux, 21 décembre 2015

JoanMira  

Podemos!!! Révolution dans le paysage politique espagnol!


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C’est une vraie révolution dans le paysage politique espagnol. Les deux grands partis traditionnels, le Parti populaire (PP) de la droite conservatrice et le PSOE (Parti socialiste ouvrier espagnol), social-démocrate, qui se sont partagé le pouvoir depuis 1977, ont fléchi face aux partis émergents.
Podemos (“Nous pouvons”), du jeune Pablo Iglesias (37 ans), anti-austérité, issu du Mouvement des indignés (2011-2012), dit de “gauche radicale”, et Ciudadanos (“Citoyens”), d’Albert Rivera (36 ans), de centre droit, qui lutte contre la corruption de la droite et les nationalismes centrifuges (Catalogne, Pays basque, etc.) feront leur entrée à la Chambre des députés.
 



Selon les résultats définitifs, repris dimanche à 23 heures, par le site Infolibre le PP arrive en tête, avec 28,7 % des voix, suivi du PSOE, 22 %, puis de Podemos, 20,5 %, et de Ciudadanos, 14 %. Mais les choses se compliquent en nombre de sièges dans la future Chambre des députés. La loi électorale espagnole, en grande partie proportionnelle, donne cependant un avantage aux forces implantées sur tout le territoire, au détriment des nouveaux partis.  

Le problème de Podemos

Ainsi Podemos n’obtient que 69 députés, beaucoup moins que le PSOE (90) malgré la faible différence de voix entre ces deux partis de gauche. Ciudadanos atteint 40 sièges, avec un PP largement en tête, 123 députés, un résultat cependant très insuffisant pour gouverner seul dans une chambre de 350 membres, comme il le faisait depuis 2011 – 186 sièges. Et une alliance PP-Ciudadanos semble très improbable. Sans compter que, de toute façon, cette hypothétique alliance n’arriverait pas à une majorité absolue (176 sièges). Tout comme une alliance éventuelle entre les socialistes et Podemos.
 



Du coup, personne n’est capable de prédire qui sera le prochain président du gouvernement. “La menace de la non-gouvernabilité va marquer le jour d’après le 20 décembre, écrit le site du quotidien El Paíscar il manque un accord de plus de trois partis pour obtenir les 176 sièges de la majorité absolue.” Quelques commentateurs politiques prédisent d’ailleurs des élections anticipées au printemps prochain : “Certains dirigeants du PSOE n’excluent pas des élections en mai, avance le site Infolibre qui nuance cependant : L’égalité entre les deux blocs gauche-droite est totale, mais les nationalistes catalans [9 élus] et basques [6] pourraient décider d’une majorité.” Mais dans quel camp ?
 

Qui va gouverner ?

Désormais le gouvernement du PP de Mariano Rajoy est simplement “en fonction”, avec des pouvoirs limités, précise El Mundo :”Il faudra attendre le 13 janvier, la date légale fixée par la loi, pour procéder à l’installation de la nouvelle Chambre des députés.” Comme dans toute monarchie constitutionnelle, le roi Felipe VI sera tenu d’appeler le leader du parti arrivé en tête, le PP, pour lui demander de former un nouveau gouvernement.
El Mundo prédisait avec justesse avant les résultats que “le vainqueur d’aujourd’hui aura[it] le moins de sièges depuis le retour de la démocratie”, en 1975, après la mort du dictateur Franco : “C’est un rendez-vous avec l’Histoire. Les urnes vont mesurer l’usure du bipartisme.”

Historia de Portugal - 1249 - Fim da Reconquista cristã em Portugal


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É inquestionável que a invasão muçulmana teve uma evolução diferente das outras invasões europeias, porque, embora tenham deixado vestígios da sua presença, os Mouros nunca se miscigenaram (cultural e racialmente) com os povos autóctones. Daí resultou que os Muçulmanos fossem sempre considerados como os invasores, após oito séculos de difícil convivência.
Neste conflito a religião teve um papel primordial não só para unir os diferentes grupos étnicos (Árabes e Berberes; Francos, Bascos, Astures, Godos e Iberos) mas também para impossibilitar a assimilação e até o compromisso.
Inicialmente, os primeiros grupos de Cristãos nas Astúrias resistiram para garantir a sua subsistência e os Francos resistiram para defender as vias de comunicação com a Península Ibérica. Os Bascos dos Pirenéus e os Francos uniram-se, depois de superadas as lutas entre si, para combater o inimigo comum. Após o desmembramento do Império Carolíngio, a luta foi continuada pelos senhores locais, estes formaram os núcleos que vieram a tornar-se nos reinos de Navarra e Aragão e no condado da Catalunha.
As Astúrias aproveitaram a luta entre Árabes e Berberes (742-48) para alargar o seu território, no tempo de D. Afonso I, que destruiu e despovoou a fronteira meridional até ao Douro. Com Afonso III (886-910) foi reconquistada a faixa ocidental até ao Mondego e foram repovoadas as áreas de Portucale, Coimbra, Viseu, Lamego e Leão. Esta última cidade passou a ser o centro do reino em 914.
No século X a luta foi menos intensa, até Almançor tomar o poder e liderar várias campanhas devastadoras que fizeram recuar a fronteira até ao Douro (981-1002).
Depois, na primeira metade do século XI, a luta voltou a diminuir, devido à crise dos reinos cristãos e à fragmentação do emirado de Córdova (taifas). Fernando Magno levou a fronteira até ao Mondego (1064) e iniciou uma política de alianças e protetorados com os príncipes muçulmanos, que foram, no geral, pouco favoráveis para os invasores.
No final do século, D. Afonso VI alcançou o Tejo (1085), repetindo a mesma política de alianças e desenvolvendo a colaboração com cavaleiros francos. O seu objetivo era criar um império hispânico para reclamar a sua hegemonia sobre a península. Dentro deste contexto, foi repovoado o território entre o Douro e o Tejo e formou-se em Portugal um núcleo que pretendia a independência.
No século XII a Reconquista foi sobretudo uma ação política para desenvolver os reinos de Portugal, Leão-Castela e Aragão. A ação do rei passou a sobrepor-se sobre a dos senhores locais, com o auxílio das ordens militares e apoiada também pelo repovoamento da Estremadura e do Tejo. Simultaneamente, foi-se formando o espírito de Cruzada, sob a influência da cúria papal e das ordens militares. Dentro deste espírito travaram-se as batalhas de Navas de Tolosa (1212) e do Salado (1340) e conquistou-se o Algarve (1249), numa altura em que, na Europa central, esmorecia o ideal da Cruzada. Contudo, tal não impediu que os Cristãos aceitassem a capitulação moura e lhes dessem alguns privilégios.
Após a tomada de Algeciras (1348), a Reconquista acalmou até à expulsão final dos Muçulmanos, com a tomada de Granada (1492).
A Reconquista possibilitou explicar a formação dos reinos peninsulares medievais e as características (económicas e culturais) das maiores regiões da Espanha, integradas nos reinos cristãos em condições especiais e variáveis de caso para caso.

Astronomy picture of the day - 2015 December 21 - SN Refsdal: The First Predicted Supernova Image

2015 December 21
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SN Refsdal: The First Predicted Supernova Image 
Image Credit: NASAESA, and S. Rodney (JHU) and the FrontierSN team; T. Treu (UCLA), P. Kelly (UC Berkeley), and the GLASS team; J. Lotz (STScI) and the Frontier Fields teamM. Postman (STScI) and the CLASH team; and Z. Levay (STScI)
Explanation: It's back. Never before has an observed supernova been predicted. The unique astronomical event occurred in the field of galaxy cluster MACS J1149.5+2223. Most bright spots in the featured image are galaxies in this cluster. The actual supernova, dubbed Supernova Refsdal, occurred just once far across the universe and well behind this massive galaxy cluster. Gravity caused the cluster to act as a massive gravitational lens, splitting the image of Supernova Refsdal into multiple bright images. One of these images arrived at Earth about ten years ago, likely in the upper red circle, and was missed. Four more bright images peaked in April in the lowest red circle, spread around a massive galaxy in the cluster as the first Einstein Cross supernova. But there was more. Analyses revealed that a sixth bright supernova image was likely still on its way to Earth and likely to arrive within the next year. Earlier this month -- right on schedule -- this sixth bright image was recovered, in the middle red circle, as predicted. Studying image sequences like this help humanity to understand how matter is distributed in galaxies and clusters, how fast the universe expands, and how massive stars explode.