2012-08-18

Imagens do Mundo - Crianças de Manila


NICOLAS ASFOURI / AFP

Nas Filipinas, menina leva uma criança nas costas para cruzar as ruas alagadas de Valenzuela, próximo a Manila.

Imagens do Mundo - Comboio na Tailândia

Chaiwat Subprasom/Reuters

Uma imagem que pareceria temerária em qualquer parte do mundo é bastante comum em Maeklong, na Província tailandesa de Samut Songkhram, cidade que fica a 60 km da capital Bancoc. Vendedores de um mercado local de frutas e verduras precisam desmontar temporariamente as suas barracas para que um trem possa seguir viagem. O comboio passa pelo local pelo menos oito vezes ao dia, e em todas é necessária a manobra e o cuidado dos donos das barracas e seus clientes.

The 35 Most Amazing Libraries In The World

With education as our focus here at The Best Colleges, we obviously love libraries. College libraries, public libraries, private libraries, it doesn’t matter, we think they are all awesome. With that in mind we’ve done hours of research trying to find the most interesting libraries in the world, and come up with these 35 that we thought were especially noteworthy. We’ve tried to balance our list between architecturally interesting libraries and libraries with interesting collections, but most of these libraries are actually fascinating in both respects. We’d love to spend a day in any of these libraries, and we hope you’ll agree.


32. Stockholm Public Library, Stockholm, Sweden


The Stockholm Public Library is one of Stockholm’s most notable buildings. The library was opened in 1928 and designed by Gunnar Asplund, one of Sweden’s most important modern architects. The interior of the main part of the building is a rotunda, giving visitors a visually pleasing view of many of the library’s shelves along the rotunda walls. The Stockholm Public Library holds more than 2 million volumes and over 2.4 million mixed media items.

O álbum de fotografias da Revolução Russa

Em novembro de 1917, James Maxwell Pringle, funcionário do First National Bank, de Nova York, se viu em meio ao turbilhão da Revolução Russa durante uma viagem de negócios. Pringle fotografou tudo com olhar de estrangeiro e turista. Manteve distância dos fatos mas foi atento para registrar o clima e as marcas daquela época.
Pringle chegou a Petrograd (atual São Petersburgo) dias depois Revolução de Outubro, na qual os bolcheviques derrubaram o governo provisório – instaurado depois da deposição do Czar Nicolau II, em fevereiro daquele mesmo ano. Além de cenas comuns do dia a dia, as imagens mostram prédios esburacados por balas, barricadas em algumas ruas e covas sendo feitas para os mortos dos confrontos.
A viagem durou até março de 1918 e Pringle circulou pelas cidades russas de Moscou, São Petersburgo, Vologda, Vereshchagin e Novo-Nikolaevsk – além de ter passado por Japão, Coreia do Sul e China.
Todas as imagens da viagem foram reunidas por James Maxwell Pringle num álbum de fotografias com algumas importantíssimas identificações históricas. O álbum foi doado pela família de Pringle à Biblioteca do Congresso Americano que digitalizou algumas páginas e mantém o álbum completo em exposição.
Alexandre Belém
9. Manifestações no centro de Petrograd (São Petersburgo), Rússia – 1917/1918. (James Maxwell Pringle/Libray of Congress)

The 35 Most Amazing Libraries In The World

33. The National Library of Singapore, Singapore, Singapore


The National Library of Singapore is located a 16 story tall building, recently built in 2005. The library has over 200,000 books and also has a performing arts center with a 615 seat theater. The building is adorned with multiple gardens that feature views of the city of Singapore.

2012-08-17

Les grands peintres impressionnistes - Camille Pissarro - 1830-1903

Camille PISSARRO

le doyen et l'initiateur

Camille Pissarro voit le jour dans l'Ile de Saint-Thomas le 10 juillet 1830 d'un père (Abraham) juif français d'origine portugaise émigré dans cette colonie danoise des Antilles, commerçant en quincaillerie, et d'une mère créole des Antilles danoises du nom de Rachel Manzano-Pomie.
Son père l'envoie suivre sa scolarité, de 1842 à 1847, dans un pensionnat d'un petit village des environs de Paris, Passy. Dès cette époque, il dessine à la campagne et visite les musées parisiens. Revenu à Saint-Thomas, il se lie d'amitié avec le peintre danois Fritz Melbye, avec lequel il s'enfuit en 1852, afin d'échapper à l'entreprise de son père, vers Caracas au Vénézuela où il restera deux ans.
En 1855 son père finit par céder à sa volonté de devenir peintre et l'envoie de nouveau, afin de lui faire suivre une formation plus sérieuse, à Paris, où la branche française de sa famille allait lui apporter son soutien financier.

Autoportrait
1873


Musée d'Orsay, Paris
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L'ACADEMIE SUISSE
Pissarro n'y suivra pas une formation régulière, mais se contentera de travailler occasionnellement à l'"Académie Suisse". Cet atelier parisien prestigieux créé en 1815, successivement dirigé par David, Gros, Delaroche, et sous la direction du peintre suisse Charles Gleyre depuis 1844, mettait à la disposition des jeunes artistes un atelier et des modèles. L'Académie Suisse ne dispensait pas de cours, mais permettait aux jeunes peintres d'étudier ensemble le nu, le prix d'un modèle étant trop élevé pour un seul artiste. C'est là qu'il fera la connaissance de Monet en 1859, de Guillaumin et de Cézanne en 1861.

Rives de Marne à Chennevières
1864-65
National Gallery of Scotland
A cette époque, Il peint dans les environs de Paris sur les bords de la Seine, de l'Oise et de la Marne, son travail suivant particulièrement le style de Corot, dont il avait pu admirer les oeuvres lors de l'Exposition Universelle de 1855, et avec lequel il avait pris contact. C'est de là que naquit sa vocation de peintre paysagiste.
En 1859, il envoya sa première oeuvre au Salon et y fut admis à exposer. En 1860, il entre en ménage avec Julie Vellay, la fille d'un viticulteur bourguignon dont il aura huit enfants.
En 1866, Camille et sa famille s'installèrent à Pontoise, puis à Louveciennes en 1869, gardant un appartement à Paris d'où il pouvait se rendre aux rendez-vous du Café Guerbois. Il avait fait la connaissance de Manet en 1866.
PONTOISE
Hormis en 1867, il fut régulièrement admis au Salon, sans que ces admissions lui apportent des ventes particulières, et il connaîtra longtemps des difficultés financières pour faire vivre sa nombreuse famille.
Sa plus grande expérience par rapport à Monet, à Renoir et à Sisley, confère alors une plus grande maturité à ses tableaux. Il se sert des modulations de couleur pour suggérer la profondeur spatiale tout en gardant une grande rigueur dans la composition. Ces qualités que l'on retrouve chez son élève Cézanne font de Pissarro un peintre bien plus considéré aujourd'hui qu'il ne le fut par le passé.
A Pontoise, il travaille avec Guillaumin, rendant de nombreuses visites à Auvers-sur-Oise au docteur Gachet qui soigne sa mère.
La côte du Jallais, Pontoise
1867
Metropolitan Museum of Art, NY
Au cours de la guerre de 1870, Pissarro, de nationalité danoise, après un bref séjour en Bretagne, se réfugiera à Londres auprès de Monet. Il laissera derrière lui tous ses tableaux à Louveciennes, ainsi que ceux que Monet lui avait laissés en dépôt. Ceux-ci serviront aux Prussiens de planches à débiter la viande et seront pour la plupart détruits. Sur les bords de la Tamise, Pissarro découvrira le travail de John Constable, Joseph M.W. Turner et de Richard Bonington.
Après la guerre, il retourne s'installer à Pontoise, où il restera dix ans.
PISSARRO-CEZANNE

Gelée blanche
1873
Musée d'Orsay, Paris
Un moment important dans l'histoire de la peinture est la collaboration entre Pissarro et Cézanne du printemps 1872 à la fin mai 1874.
Ils se connaissent depuis plus d'une décennie et Pissarro accueille Cézanne venu travailler avec lui. Celui-ci s'installe avec sa famille, à Pontoise d'abord, puis à Auvers-sur-Oise en 1873 dans un logement fourni par le Dr Gachet.
Leur travail en commun va se révéler pour l'un et pour l'autre particulièrement fécond. Cézanne va s'approprier la façon de peindre des impressionnistes tandis qu'il conforte Pissarro dans sa volonté de réaliser des compositions construites avec une picturalité autonome.
1874 fut l'année de la première exposition impressionniste. Pissarro, doyen des Impressionnistes, participera aux huit expositions du groupe.

LE PAYSAGE S'ELARGIT
La critique ne reconnaîtra le talent de Pissarro qu'à la fin des années 1870. Celui-ci répondra aux attentes du public en se consacrant davantage à la décoration. Ses moyens financiers lui permettront d'acheter une maison à Eragny en 1884.
Vers la fin 1882, Camille quittait Pontoise pour s'établir à Osny, un village voisin de Pontoise, où il poursuivit son oeuvre, parfois en compagnie de son ami Paul Gauguin, qui fait alors partie de son cercle de disciples, au même titre qu'Armand Guillaumin, et Cézanne qui passe de temps à autre chez lui.
De cette époque, son oeuvre évolue, aux simples paysages s'ajoutent désormais des scènes de rue, de marché avec de nombreux personnages, d'intérieurs avec des paysans. Le peintre paysagiste devenait également peintre de figures.
Sa palette aussi évolue, vers plus de contraste dans les couleurs et des touches de plus en plus petites. Le tissage de la surface picturale est composé de particules de pigments d'égale valeur.
En 1884, il s'installe à Eragny, près de l'Epte où il allait rester jusqu'à sa mort.

Le marché à la volaille, Pontoise
1882
Norton Simon Foundation
Los Angeles
LE DIVISIONNISME

Vers le milieu des années 1880, il rencontra Seurat et fut impressionné par ce qui pendra plus tard le nom de néo-impressionnisme, et la technique divisionniste, sans pour autant adhérer totalement à l'approche systématique et scientifique de ce dernier ou de Signac.

Vue de ma fenêtre, Eragny sur Epte vers 1886-88
The Visitors of the Ashmolean Museum
Oxford
Il adoptera un moment les petites tâches irrégulières du pointillisme, et exposera même en 1886, avec Seurat, Signac et son fils Lucien Pissarro.
Jusqu'en 1890, il signera des tableaux divisionnistes sur des motifs de paysages cultivés, de vues fluviales ou de scènes paisibles du travail paysan, préférant toutefois des petits traits aux points rigoureux de Seurat .
En 1890, au retour de voyages en Hollande et en Angleterre qui ranimèrent son amour de la nature et son admiration pour ses amis impressionnistes, Monet, Renoir, Degas et Sisley, il se détourna de "la division systématique de notre ami et regretté Seurat", tout en gardant jusqu'à la fin de petites touches serrées.
PEINTRE DE LA VILLE
La production de Pissarro, réduite jusqu'en 1890, deviendra plus abondante alors que les difficultés financières ressurgissent et ce alors qu'il connaît des problèmes de vue l'empêchant de travailler en plein air.
Dans ses oeuvres tardives, Pissarro va accorder aux vues métropolitaines un intérêt jusqu'alors manifesté seulement par Monet et Caillebotte.
Il loue des chambres à Paris, Rouen, Dieppe et au Havre, à partir desquelles il peint des perspectives dynamiques de boulevards, places, fleuves et ponts. Comme Monet, il peint des variantes et répétitions pour fixer les différences de lumière.
Il faut voir dans cette nouvelle évolution, due en partie à sa maladie des yeux, en même temps qu'un désir de satisfaire ses désormais nombreux acheteurs, la vision sociale et d'avenir de Pissarro, pour lequel ce qu'il y a de laid dans le progrès, au regard d'un ordre établi, est, paradoxalement, beau.
Dans ces vues citadines, on retrouve son aptitude à la composition spatiale, avec des perspectives profondes parcourues par la circulation et encadrées par l'architecture et les allées d'arbres, l'ensemble baignant dans une ambiance harmonieuse de lumière de ville.

Boulevard Montmartre, effet de nuit
1897
National Gallery, Londres

Le marchand Durand-Ruel, qui contribuera au succès de Pissarro en France et en Amérique, lui consacrera une exposition monographique.
L'INFLUENCE DE PISSARRO
La contribution de Pissarro à l'impressionnisme est essentielle. Par son oeuvre et son art qui en est une des expressions les plus représentatives et les plus brillantes, par l'influence qu'il eut sur les autres impressionnistes

Route, effet de neige
1879
New Walk Museum and Art Gallery,
Leicester
Deux de ses élèves reconnurent jusqu'à la fin de leur vie l'importance qu'avait eue pour leur art la formation de Pissarro : Cézanne, qu'il aida à peindre plus clair à la manière impressionniste, à chercher la forme par la couleur, sans recours aux cernes du dessin , puis Gauguin, dont il supervisa les premiers travaux.
Cézanne qui se présentait parfois comme l'élève de Pissarro, gardera toujours une affection sincère envers celui qu'il nommait "L'humble et colossal Pissaro" et dont il dira "Ce fut un père pour moi. C'était un homme à consulter et quelque chose comme le bon Dieu"

2012-08-16

Imagens do Mundo - Aquario japonês


Diferentes peixes são expostos em aquários durante a pré-estreia da exibição 'Arte Aquário', montada pelo especialista em aquários Hidetomo Kimura

Diferentes peixes são expostos em aquários durante a pré-estreia da exibição 'Arte Aquário', montada pelo especialista em aquários Hidetomo Kimura - Yoshikazu suno/AFP

2012-08-15

Imagens do Mundo - Enfer en Espagne


<strong>L'enfer.</strong> C'est sur terre et par les airs que les pompiers luttent contre les incendies qui ravagent l'Espagne. Le week-end dernier, les flammes ont emporté pas moins de 12.000 hectares dans la commune de Barco de Valdeorras, en Galicie. Des avions Canadair ont survolé les feux de forêts pour y déverser du «retardant», tandis qu'au sol les soldats du feu, armés de lances d'incendie, tentaient de stopper l'avancée du brasier. Dans l'archipel des Canaries, 4700 personnes ont dû quitter leur foyer pour fuir la fournaise. Ces feux ont fait deux victimes parmi les pompiers.

L'enfer. C'est sur terre et par les airs que les pompiers luttent contre les incendies qui ravagent l'Espagne. Le week-end dernier, les flammes ont emporté pas moins de 12.000 hectares dans la commune de Barco de Valdeorras, en Galicie. Des avions Canadair ont survolé les feux de forêts pour y déverser du «retardant», tandis qu'au sol les soldats du feu, armés de lances d'incendie, tentaient de stopper l'avancée du brasier. Dans l'archipel des Canaries, 4700 personnes ont dû quitter leur foyer pour fuir la fournaise. Ces feux ont fait deux victimes parmi les pompiers. Crédits photo : LORENZO COUTO/AFP

Article - Sénégal: Une presse complice de l’obscurantisme

A Dakar, une foule d’infirmes, de malades et de curieux assoiffés de miracles s’est bousculée mi-juillet pour assister au grand show de Dag Heward-Mills, pasteur guérisseur autoproclamé d’origine ghanéenne. Engagé dans une tournée africaine, ce religieux loufoque promet à ses ouailles rédemption et “guérison miraculeuse”.



Heward-Mills ne prêche pas dans le désert. Il vient dans un pays où, la presse aidant, charlatans, vendeurs d’illusions, voyants et guérisseurs de toutes sortes pullulent et inondent le quotidien des Sénégalais, relayés par la radio, la télévision, la presse écrite et le web. Heward-Mills a choisi ce 18 juillet 2012 un terrain vague dans le populeux quartier de Khar Yalla, où des milliers de Sénégalais, toutes religions confondues, sont venus admirer ses “miracles”. En dépit d’une mise en scène évidente avec des malades suspects, la formule fonctionne.

Malgré ses aspirations à la “modernité”, le Sénégal, un pays qui se vante d’être peuplé de musulmans à 95 %, reste encore ancré dans des croyances irrationnelles. Une bonne partie de la presse relaie aveuglément offres de guérison miraculeuse et prédictions. Ainsi, le jour même où le pasteur s’époumonait à Khar Yalla, le pays tout entier retenait son souffle : une dame du nom de Selbé Ndom, subitement sortie de l’anonymat à la faveur de quelques pronostics sur des combats de lutte, prédisait un crash d’avion.



Relayée par la presse et désormais présentée comme “une célèbre voyante”, Selbé Ndom annonçait qu’un avion allait s’écraser sur le campus de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad). Et la panique de s’installer dans ce qui est supposé être l’antre du savoir, poussant une frange de la population à s’interroger sur le rôle des médias dans la société. 


“Tout ce qui est dit à la radio est vrai”



De fait, comme subjuguée par ces faiseurs de miracles, la presse médiatise à outrance voyants, cérémonies de divination, guérisseurs, féticheurs… Cette cohorte hétéroclite n’est plus confinée dans les petites annonces ou les faits divers, mais occupe allègrement la une des médias. Pas étonnant alors que tous ces vendeurs de miracles rencontrent un énorme succès.

Outré par la légèreté de certains de ses confrères, Kader Diop, l’un des journalistes les plus respectés du pays et ancien président du Comité pour le respect de l’éthique et de la déontologie (Cred) dénonce des pratiques journalistiques qui “installent les gens dans l’obscurantisme”. Kader regrette que “les prophéties des voyants [soient] diffusées sans aucune distance critique par la majorité des médias sénégalais et éclipsent souvent les analyses des experts”.

Pour M. Diop, ce type d’information devrait tout au plus être traité de façon anecdotique, dans la rubrique “insolites”, plutôt que de figurer au-devant de l’actualité. D’autant plus, souligne-t-il, que “pour les Sénégalais tout ce qui est écrit ou dit à la radio est vrai”. Il dénonce également le laxisme des autorités, qui font elles-mêmes partie du problème puisqu’elles font appel aux charlatans et marabouts, qu’il s’agisse d’assurer une victoire électorale ou une promotion. Le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA, autorité publique) a pourtant récemment épinglé les “publicités mensongères” pour des offres miraculeuses diffusées de manière récurrente sur plusieurs stations.

Ibrahima Mbengue, professeur de sociologie à l’Ecole supérieure de journalisme, des métiers de l’Internet et de la communication (Ejicom), accuse la forte influence de l’univers de l’occulte chez les Sénégalais, y compris dans la manière dont les journalistes abordent les sujets. Le sociologue y voit un véritable cercle vicieux. “Croire aux pouvoirs magiques fait partie de la mentalité sénégalaise, même parmi les élites, les concitoyens ont une vision du monde où l’homme baigne dans un univers occulte”, explique-t-il. “La médiatisation des “manifestations surnaturelles” ne ferait donc qu’amplifier ce phénomène de société. De surcroît, si ces “informations” occupent une telle place, c’est “qu’elles ont une forte valeur marchande”, rappelle M. Mbengue. “La majorité des journalistes y croient, et même si ce n’est pas le cas, ils sont obligés de relayer l’information, car tout le monde y croit.”
Courrier International - France     

CGD recusa conceder crédito a empresa em que Relvas foi consultor

<p>Empréstimo seria na ordem dos milhões de euros</p>
A Caixa Geral de Depósitos recusou, por razões de risco, um empréstimo na ordem dos milhões de euros à Alert Life Sciences Computing, uma empresa em que Miguel Relvas foi o pivô da afirmação da multinacional de software clínico no mercado brasileiro. O pedido de crédito, pelas suas conexões políticas e pelo facto de esta empresa operar em mercados externos, foi abordado ao mais alto nível dentro do grupo público, mas foi travada pela direcção comercial do Norte.

O negócio previa o fornecimento pela empresa portuguesa de 8000 licenças de um software para triagem de doentes em estado de emergência. A imprensa paulista revelou que cerca de 90% dos pontos de atendimento dos serviços de urgência, contemplados no contrato, não dispunham de computadores, de equipamento médico, de energia ou de acesso à Internet, condições para que o programa pudesse funcionar.
PUBLICO

Negocio "à Relvas"...
Obvio, não é? Fornecer licencas de software a quem não tem computador!...
Bem..., parece-me ter chegado o tempo de afastar todos estes corruptos à paulada ou mais, se necessario. Quanto mais tempo os Portugueses vão esperar? E escândalo atras de escândalo e o Povo continua sereno e impavido...  
JOANMIRA