2011-07-14
Novo imposto: sobretaxa é de 3,5%
O imposto de carácter extraordinário que os portugueses terão de pagar este ano vai incidir sobre todos os tipos de rendimento englobáveis em sede de IRS. Trata-se de uma sobretaxa de 3,5%, sendo equivalente a 50% do subsídio de Natal.
Tragédia com motards em Portel
Um acidente ocorreu ao início da tarde desta quinta-feira na IP2, no sentido Portel-Vidigueira, Alentejo, provocando um morto e onze ferido.
O incidente envolveu um grupo de um dezena de motards a caminho da concentração de Faro. Os feridos foram transportados para o Hospital de Évora.
Contactada pela tvi24.pt, a Guarda Nacional Republica (GNR) esclareceu que o acidente terá ocorrido cerca das 13:00. O IP2 tem estado cortado ao trânsito.
O incidente envolveu um grupo de um dezena de motards a caminho da concentração de Faro. Os feridos foram transportados para o Hospital de Évora.
Contactada pela tvi24.pt, a Guarda Nacional Republica (GNR) esclareceu que o acidente terá ocorrido cerca das 13:00. O IP2 tem estado cortado ao trânsito.
Encore un soldat français tué en Afghanistan
Un nouveau soldat français, un commando marine, a été tué jeudi lors d'un «accrochage» en Afghanistan, alors qu'il participait avec des policiers afghans à une opération de contrôle dans la vallée d'Alasay, en Kapisa dans le Nord-Est du pays. L'Elysée a confirmé l'information. Ce décès est survenu alors que la France célèbre la fête nationale du 14 juillet, et au lendemain d'un attentat-suicide qui a tué cinq militaires français en Afghanistan.
Il s'agit donc du 6ème soldat français tué en Afghanistan en deux jours.
Dans un premier temps, Ouest-France, avait annoncé la mort d'un soldat français lors d'un nouvel attentat suicide survenu ce jeudi matin à Kandahar. Le nombre de victimes de cet attentat diverge selon les sources. Il a même été revu à la baisse. L'attentat aurait fait au moins trois morts selon le gouverneur de Kandahar. Ses services avaient pourtant annoncé la mort de cinq civils, un peu plus tôt dans un communiqué, tandis que le ministère de l'Intérieur afghan dénombrait lui quatre morts dont un enfant. L'attentat aurait également fait 15 blessés.
L'attaque visait une mosquée où se tenait une cérémonie en mémoire d'Ahmed Wali Karzaï, le demi-frère du président afghan, assassiné mardi.
Parmi les morts, figure le chef du Conseil des oulémas (religieux musulmans) de la province de Kandahar, le mollah Hekmatullah Hekmat.
Selon le député afghan Kamal Naser présent sur les lieux, une délégation gouvernementale de haut-niveau comprenant les ministres de la Défense et de la Justice assistait à la cérémonie, mais avait quitté la mosquée quelques minutes avant l'explosion. Aucun membre du gouvernement n'a été touché.
Les insurgés talibans ont revendiqué l'assassinat d'Ahmed Wali Karzaï, personnage controversé et homme fort de la province de Kandahar, abattu à son domicile par un proche responsable de sa sécurité.
Dans un premier temps, Ouest-France, avait annoncé la mort d'un soldat français lors d'un nouvel attentat suicide survenu ce jeudi matin à Kandahar. Le nombre de victimes de cet attentat diverge selon les sources. Il a même été revu à la baisse. L'attentat aurait fait au moins trois morts selon le gouverneur de Kandahar. Ses services avaient pourtant annoncé la mort de cinq civils, un peu plus tôt dans un communiqué, tandis que le ministère de l'Intérieur afghan dénombrait lui quatre morts dont un enfant. L'attentat aurait également fait 15 blessés.
L'attaque visait une mosquée où se tenait une cérémonie en mémoire d'Ahmed Wali Karzaï, le demi-frère du président afghan, assassiné mardi.
Parmi les morts, figure le chef du Conseil des oulémas (religieux musulmans) de la province de Kandahar, le mollah Hekmatullah Hekmat.
Selon le député afghan Kamal Naser présent sur les lieux, une délégation gouvernementale de haut-niveau comprenant les ministres de la Défense et de la Justice assistait à la cérémonie, mais avait quitté la mosquée quelques minutes avant l'explosion. Aucun membre du gouvernement n'a été touché.
Les insurgés talibans ont revendiqué l'assassinat d'Ahmed Wali Karzaï, personnage controversé et homme fort de la province de Kandahar, abattu à son domicile par un proche responsable de sa sécurité.
Le Parisien
Campanha de promoção do Alentejo em Espanha incendeia redes sociais
A campanha de promoção turística da região do Alentejo que foi lançada em Espanha está a gerar um forte movimento de protesto na blogosfera e nas redes sociais, com destaque para o Facebook, e já levou até a uma petição pública com vista a retirar esta campanha.
Sob o mote "Conquista El Alentejo", a campanha mostra imagens de uma bandeira espanhola hasteada no areal de Tróia, e está a ser massivamente divulgada em cartazes numa série de cidades espanholas, como Madrid ou Barcelona.
Comparticipar as deslocações dos espanhóis
Lançada a 15 de junho pela Agência Regional de Promoção Turística do Alentejo (ARPTA), a campanha "Conquista El Alentejo" também comparticipa os custos de combustível associados às deslocações dos turistas espanhóis na visita à região portuguesa, através da oferta de "vouchers" que podem ser utilizados em postos da Galp.
Já foi lançada uma petição pública contra a campanha "Conquista el Alentejo", no site http://www.peticaopublica.com/ , onde se alega que esta dá a imagem que "somos simples e colonizáveis" e enfatiza que "dependemos fortemente do turismo, mas temos muito mais para mostrar".
O presidente da Agência Regional de Promoção Turística do Alentejo, Vitor Silva, classifica como "ridícula" a petição pública online cujo apelo vai no sentido de retirar a campanha.
Em novembro, está prevista uma segunda fase da campanha em Espanha "Conquista El Alentejo", que envolve investimentos globais de €300 mil na sua maioria públicos, e com uma comparticipação de €100 mil de privados.
La colère des passagers bloqués d'Air Algérie: «Qu'on nous informe!»
Reportage
Après plusieurs jours de grève du personnel navigant de la compagnie algérienne, des centaines de personnes attendent – plus ou moins patiemment – des nouvelles de leurs vols.
Ambiance électrique à l’aéroport Paris Orly, en ce début d’après-midi. L’accueil à l’entrée est assuré par une kyrielle de camions de CRS. A l’intérieur, massés autour des comptoirs Air Algérie, des centaines de passagers attendent, assis sur leurs chariots à bagages, sur des valises, allongés, pour les plus fatigués ou malades, sur des lits de fortune. «Je suis malade, j’ai passé la nuit ici. Je ne suis même pas en état de parler», explique une femme qui se fait prendre le pouls.
A l'origine de cette situation: la grève du personnel navigant d’Air Algérie. Lancée il y a déjà un mois, elle avait été suspendue en attendant une décision des dirigeants de la compagnie. En l’absence de cette décision, le mouvement a repris avec force lundi matin. Les membres du personnel navigant réclament notamment une hausse de 100% de leur salaire, ulcérés par la précarité de leur situation face aux autres compagnies du Maghreb. Tandis que le PDG d’Air Algérie, Mohammed Salah Boultif, semble décidé à répondre par la force, notamment en licenciant les meneurs de la grève, la compagnie peine à gérer la situation.
Ce que les passagers reprochent le plus à la compagnie, c’est son manque de communication. «Qu’on nous informe!» s’indigne Mouloud. «On ne nous a rien dit de toute la journée d’hier, les informations sont floues. Il faudrait qu’on nous donne une heure pour revenir, qu’on puisse rentrer chez nous. Là, il y a des enfants, des personnes âgées, des invalides… Moi-même, j’ai quand même 62 ans…»
Deux jeunes gens renchérissent: «On est là depuis hier, 16 heures, et ils ne nous ont rien dit! Ils ont juste parlé une fois tout à l’heure, rapidement, c’est tout. Au début les vols étaient marqués "retardés", on ne savait même pas ce qui se passait…».
Lire en intégralité sur Libération
€URO PRESTES A EXPLODIR!
Selon les experts, la solution idéale serait de fédéraliser la zone €uro, ce que les Allemands refusent. Il s'agirait d'une fédéralisation partielle, à 9, regroupant France, Bénélux, Allemagne, Autriche, Italie, Espagne, Portugal. On laisse aux Grecs un euro qui, du coup, sera dévalué. Et on crée un «new euro», avec un gouvernement économique et un vrai budget fédéral à 7 ou 8% du PIB. Ce dernier permet de redistribuer de l'argent entre les pays-membres pour compenser leurs différences de structure économique. La banque centrale reste indépendante, même si on peut imaginer de réécrire Maastricht pour lui donner, en plus de son mandat de stabilité des prix, une mission de croissance économique. Une telle zone deviendrait la deuxième puissance du monde. Mais soyons clair: la probabilité d'un tel scénario est quasi-nulle.
Todos compreendemos, sem se ser perito, economista ou politico, que algo mau e/ou grave se passou no Pais berço da democracia.
Acontece que os Paises ricos da Europa (Alemanha e França, nomeadamente), contribuiram em grande parte ao défice greco ao impor aquele Pais, despesas absolutamente desnecessarias tais como a compra de material de armamento que apenas serviam os seus exportadores e balança comercial.
A hipocrisia dos estados que aliciaram/ludibriaram outros, oferendo-lhes de inicio subsidios para os tornarem improdutivos, casos da Grécia, Irlanda, Portugal, Espanha, Italia (OS PIIGS...) e abrirem largamente as suas fronteiras para neles poderem despejar as suas exportações, (algumas contaminadas de bactérias, tipo e-coli), não tem limites.
Mas, como diz o Povo, ca se fazem, ca se pagam.
A factura vai ser fenomenal: esses estados-"membros"-ricos que desmantelaram a agricultura, a industria, de uma maneira geral a economia dos "pobres", vai ser-lhes apresentada rapidamente sob a forma de um caos economico que mais os afectara que aqueles que pouco ja teem a perder.
O €uro, a União €uropeia, a chantagem, estão a chegar ao fim. O boomerang vai ser devolvido ao remetente!
JMIRA
2011-07-13
«Soit la zone euro se fédéralise, soit l'Allemagne en sort»
Christian Saint-Etienne est membre du Conseil d'analyse économique auprès du Premier ministre et professeur d'économie au Centre national des arts et métiers. Dès 2009, il pointait dans «La fin de l'euro» les déséquilibres structurels de la monnaie unique.
Selon lui, la zone euro n'est plus viable dans sa forme actuelle. A défaut d'une fédéralisation, une sortie de l'Allemagne serait la «meilleure» solution.
Selon vous, quels problèmes pose l'euro dans sa forme actuelle?
La zone euro a un problème structurel: elle regroupe des pays qui n'ont rien à faire dans la même zone monétaire. D'une part, les pays du nord, l'Allemagne, les Pays-Bas, l'Autriche, qui ont choisi un modèle industriel exportateur ; de l'autre, les pays du sud, France, Italie, Espagne etc., et leur modèle de consommation, tiré en France par la dépense publique. Les premiers, en raison de leur industrie forte, ont les moyens de rester compétitifs avec un euro à 1,5 dollars. Les autres ne le sont plus au-delà de 1,3 dollars. Ce divorce s'est aggravé avec la crise de 2008. L'euro ne peut plus continuer tel qu'il est.
Que préconisez-vous?
La solution idéale serait de fédéraliser la zone, ce que les Allemands refusent. Il s'agirait d'une fédéralisation partielle, à 9, regroupant France, Bénélux, Allemagne, Autriche, Italie, Espagne, Portugal. On laisse aux Grecs un euro qui, du coup, sera dévalué. Et on crée un «new euro», avec un gouvernement économique et un vrai budget fédéral à 7 ou 8% du PIB. Ce dernier permet de redistribuer de l'argent entre les pays-membres pour compenser leurs différences de structure économique. La banque centrale reste indépendante, même si on peut imaginer de réécrire Maastricht pour lui donner, en plus de son mandat de stabilité des prix, une mission de croissance économique. Une telle zone deviendrait la deuxième puissance du monde. Mais soyons clair: la probabilité d'un tel scénario est quasi-nulle.
Alors quels sont les autres scénarios?
Soit les pays du sud adoptent le modèle du nord, ce qui techniquement est impossible avec un euro à 1,4 dollars. Il faudrait qu'il baisse, mais ce n'est pas dans l'intérêt de l'Allemagne. Soit les pays du nord sortent de l'euro. Dans ce cas, la dévaluation devient possible. On est en train d'en approcher. L'attaque sur la dette de l'Italie préfigure sans doute la même chose contre l'Espagne et la France.
Liberation
Cinq soldats français tués dans un attentat suicide en Afghanistan
Cinq soldats français et un civil afghan ont été tués mercredi en Afghanistan dans un attentat suicide contre un convoi militaire, dans la province de la Kapisa au nord-est de la capitale Kaboul, a confirmé la présidence de la République.
Quatre autres soldats français et trois civils afghans ont également été blessés lors de cet attentat suicide, qui intervient au lendemain d’une visite surprise de Nicolas Sarkozy en Afghanistan, a ajouté l’Elysée.
Les insurgés talibans ont revendiqué l'attentat dans un sms envoyé à l'AFP.
«Un terroriste a déclenché sa bombe à proximité des soldats français» alors qu'ils protégeaient une assemblée de notables à Joybar, dans la province de la Kapisa, selon la présidence qui ne dit pas explicitement qu'il s'agit d'une attaque suicide.
«Un kamikaze à pied a visé un convoi de l'armée française dans le village de Gulzarkhail, dans le district de Tagab. Il y a des victimes parmi les soldats français mais je n'ai pas plus de détails», avait auparavant déclaré à l'AFP Sayed Sakhidad Matin, chef de la brigade criminelle de Kapisa.
«Un terroriste a déclenché sa bombe à proximité des soldats français» alors qu'ils protégeaient une assemblée de notables à Joybar, dans la province de la Kapisa, selon la présidence qui ne dit pas explicitement qu'il s'agit d'une attaque suicide.
«Un kamikaze à pied a visé un convoi de l'armée française dans le village de Gulzarkhail, dans le district de Tagab. Il y a des victimes parmi les soldats français mais je n'ai pas plus de détails», avait auparavant déclaré à l'AFP Sayed Sakhidad Matin, chef de la brigade criminelle de Kapisa.
C’est l’attaque la plus meurtrière contre des soldats français déployés dans ce pays depuis l’embuscade d’Uzbin le 18 août 2008, qui avait fait 10 morts dans les rangs français.
Cet attentat porte à 69 le nombre de soldats français tués depuis le début de l’intervention française en Afghanistan fin 2001.
Liberation
Avião de turismo despenhou-se perto de Recife, 16 ocupantes morreram
O avião saiu do aeroporto de Recife às 6h15 locais (10h15 de Lisboa) e fez um contacto com a torre de controlo a avisar de um problema de emergência logo após a descolagem, segundo nota emitida pela Força Aérea Nacional.
O piloto terá avisado que faria uma aterragem de emergência, mas o avião caiu e incendiou-se logo de seguida. O avião caiu num terreno baldio, entre os bairros de Piedade e Boa Viagem.
A aeronave, um bimotor L410 de fabrico checo, pertencia à empresa de aviação regional Noar Linhas Aéreas e voava de Recife para a cidade de Natal, também no nordeste do país.
A companhia aérea que operava o voo iniciou as suas actividades em Junho do ano passado, tendo inaugurado a linha Recife-Natal em agosto.
A Força Aérea Brasileira iniciou as investigações para apurar os possíveis factores que contribuíram para o acidente.
Com Lusa
PORTUGUESES EMIGRAM COM DESTINO AO LUXEMBURGO E SUIÇA
Bruxelas, 12 jul (Lusa) – Os portugueses continuam a marcar os fluxos migratórios para o Luxemburgo e a Suíça, segundo um estudo hoje apresentado em Bruxelas.
Portugal é a origem de cerca de 11 por cento dos imigrantes na Suíça ao longo da última década, um fluxo confirmado pelos dados relativos a 2009, à frente dos imigrantes provenientes da França e Itália para o país helvético.
Portugal, à frente da França e da Bélgica, é o primeiro país de origem dos imigrantes no Luxemburgo (mais de 25 por cento dos estrangeiros entrados no país), segundo dados de 2009 que são sensivelmente iguais ao fluxo considerado entre 2000 e 2008.
O novo “outlook" das tendências migratórias, com dados relativos a 2009 e uma análise dos fluxos e estatísticas durante a década anterior, foi divulgado hoje em Bruxelas pela Organização para a Cooperação e Desenvolvimento Económicos (OCDE).
Em relação aos setores de atividade, o estudo assinala que a saída de portugueses para países do Espaço Económico Europeu se faz em empresas do setor da construção (cerca de metade, secundando apenas a Estónia) e do setor de manufaturas e energia (a um nível equivalente), sendo residual o fluxo migratório enquadrado em empresas de serviços.
“Estónia, Portugal, Malta, Islândia e a República Checa têm tendência para estar (presentes) na construção”, segundo a mesma análise de fluxos por setor de atividade feita pela OCDE.
Segundo a organização, Portugal faz parte do grupo de países com “um grande número de trabalhadores enviados” para o estrangeiro, a par da Polónia, Alemanha, França e Luxemburgo.
“Ao mesmo tempo, países de destino significativos são a Alemanha, a França, Bélgica, Holanda e Espanha”, acrescenta o relatório.
Em relação aos fluxos para Portugal, o relatório da OCDE regista um aumento significativo de imigrantes permanentes no país entre 2004 e 2009 e assinala a emergência dos estrangeiros provenientes dos países do Leste europeu, mas também da China, entre as novas comunidades residentes.
O estudo recorda que Portugal, à semelhança de outros países da União Europeia, abriu completamente o seu espaço à livre circulação de trabalhadores búlgaros e romenos em janeiro de 2009.
A OCDE constata também um aumento significativo do desemprego de longa duração (até 11 meses e mesmo de 12 a 24 meses) entre os trabalhadores de origem estrangeira.
O documento sublinha ainda que Portugal se distingue claramente como um dos países que, em rácio de população total, recebe menos pedidos de asilo, juntamente com a Coreia do Sul, o Japão e a Estónia no espaço da OCDE.
PRM
Lusa/Fim
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