2014-09-23

Novo porto para o Barreiro (Portugal)

O Governo prepara-se para lançar uma consulta pública junto das autoridades ambientais para perceber que avaliação fazem da transferência do terminal de contentores de Lisboa para o Barreiro. Um passo que vai ser dado depois de a Administração do Porto de Lisboa (APL) ter concluído que esta é a melhor localização para a infra-estrutura, pondo definitivamente de parte a opção da Trafaria, igualmente na margem sul do Tejo e que o executivo tinha anunciado como solução no início de 2013.
Depois de meses de estudos e de consulta junto de diferentes parceiros, a APL remeteu ao executivo a decisão final sobre o novo porto de mercadorias de Lisboa. O Ministério da Economia irá, agora, pedir avaliações sobre o impacto ambiental da instalação desta infra-estrutura no Barreiro, junto aos terrenos da Quimiparque. O Expresso noticiou no sábado que o anúncio será feito nos próximos dias, mas o PÚBLICO sabe que não está nada previsto nesse sentido.
A escolha do Barreiro faz cair por terra a opção que tinha sido anunciada pelo Governo, em Fevereiro de 2013. Numa conferência de imprensa que contou com vários ministros e secretários de Estado, o executivo apresentou um plano de reestruturação que previa a transferência do terminal de contentores para a Trafaria. Esta solução foi, porém, alvo de inúmeras críticas, da oposição a associações ambientais, sem esquecer a líder da Câmara Municipal de Almada à época. Maria Emília de Sousa (CDU) chegou a ameaçar contestar a decisão nos tribunais.
O plano anunciado no início do ano passado estimava em 600 milhões de euros o investimento inicial do novo porto de mercadorias, 80% do qual a ser suportado por investidores privados que ficariam a explorar a infra-estrutura. A obra obrigaria à construção de uma linha ferroviária entre o terminal da Trafaria e a linha do Sul, perto do Pragal, que a Refer previa que custasse 160 milhões de euros. Todos os estudos feitos para sustentar o projecto ficarão, agora, arrumados na gaveta.
Desde o final do ano passado que o Governo tem vindo a dizer que a futura localização do porto ainda estava em estudo. Mas, em Junho, o ministro da Economia confirmou a preferência pelo Barreiro, quando esteve presente na cerimónia de encerramento da semana de homenagem ao industrial do grupo CUF Alfredo da Silva, naquela localidade. “Ainda não é uma decisão final porque ainda estamos a receber os últimos estudos técnicos e ambientais, mas tudo aponta neste sentido, de o porto se localizar nesta área”, afirmou, citado pela Lusa.
A favor desta opção está o facto de a Câmara Municipal do Barreiro a ver com bons olhos. Em declarações ao PÚBLICO, no início de Agosto, o presidente da autarquia referia que o impacto económico “será muito positivo”, já que “vai criar muito significativamente postos de trabalho indirectos, um conjunto de actividades económicas para o concelho”. Carlos Humberto Carvalho garantia ainda que “há já pessoas interessadas em investir, há já algumas empresas a posicionarem-se face à eventual construção do porto”.
O Governo entende que está infra-estrutura é vital para o país para potenciar o crescimento das exportações. Uma das grandes polémicas em redor do tema sempre foi a concorrência que o novo porto poderá fazer a Sines, concessionado à empresa de Singapura PSA. O Expresso adiantava que esta questão terá já sido superada, uma vez que o projecto previsto para o Barreiro é menos ambicioso do que aquilo que estava planeado para a Trafaria.
 
Publico - Portugal

Quelles différences entre les Portugais et Espagnols?

Le chanteur de fado Pedro Galveias en pleine interprétation devant un parterre de touristes à Lisbonne, le 6 juillet 2012 (AFP PHOTO/ PATRICIA DE MELO MOREIRA)
Le chanteur de fado Pedro Galveias en pleine interprétation devant un parterre de touristes
 à Lisbonne, le 6 juillet 2012 (AFP PHOTO/ PATRICIA DE MELO MOREIRA)
Frères, cousins, amis, voisins, collègues, associés, complices ou alliés, les liens qui unissent les Espagnols et les Portugais sont multiples. Ces deux peuples frontaliers qui se partagent la péninsule ibérique et qui ont en commun de nombreuses années d'histoire sont très proches sans pour autant être identiques. Et les différences ne manquent pas.
Gardons-nous bien évidemment des généralisations trop hâtives, et rappelons qu'il n'y a pas deux Espagnols ou deux Portugais semblables, et qu'une généralité n'a jamais valeur de règle. En plus de nos différences, certains mythes et stéréotypes ont la vie dure. Et il n'est pas toujours facile de mettre fin aux idées préconçues.
Les Espagnols préfèrent le tutoiement, les Portugais sont plus formels
Commençons par la personnalité : les Espagnols seraient de joyeux drilles et les Portugais de tristes sires. Et pourtant, il n'y pas que la fête en Espagne. Et pourtant, les Portugais ne passent pas tout leur temps à écouter du fado. Certaines différences de personnalité sont cependant évidentes. Nous les Espagnols, nous sommes plus extravertis, plus bavards, nous avons le verbe haut, nous ne faisons pas de chichis et nous sommes plus tactiles. Nous exprimons davantage nos sentiments.
Les Portugais quant à eux sont plus réservés, parlent moins et élèvent rarement la voix, ils sont plus polis et attachés à la bienséance. Ils sont d'ailleurs les champions d'un formalisme excessif et, dans ce pays de médecins et d'ingénieurs, l'attachement aux titres honorifiques prend beaucoup d'importance, peut-être même trop. Les Espagnols préfèrent le tutoiement et peuvent prendre mal qu'on les vouvoie.
"La morue a beau être reine au Portugal, ce n'est pas le seul poisson consommé"
En ce qui concerne les horaires, nous ne sommes pas non plus sur la même longueur d'onde et pas seulement pour des raisons de fuseaux horaires. Quand vient midi en Espagne, on grignote un morceau de tortilla avec une bière ou du pain à la tomate arrosée d'un filet d'huile d'olive. A cette heure-là, au Portugal, on met déjà le couvert même si les restaurants ne se remplissent pas avant 13 heures. Manger à 15 heures et dîner à 22 heures a beau être fréquent dans les familles espagnoles, ce sont des horaires jugés beaucoup trop tardifs au Portugal.
En Espagne, après le travail on va prendre un verre avec les collègues et les amis avant de dîner. Chez nos voisins, ce genre de pratique n'est guère répandu même si les endroits où grignoter et boire un verre se multiplient.
En matière de gastronomie, nous partageons certes le même régime méditerranéen, mais à quelques nuances près. Notamment en ce qui concerne la façon de cuisiner et de présenter les aliments. Là encore, il faut tordre le cou à certains mythes. La morue a beau être reine au Portugal, ce n'est pas le seul poisson consommé.
Quant à nous, les Espagnols, nous ne sommes pas accros à la friture et nous ne nourrissons pas exclusivement de tapas contrairement à ce que pensent nos voisins. Les Portugais ont cependant une tradition très supérieure à la nôtre en matière de café. Nous utilisons un mélange de cafés torréfiés, faible en goût et en intensité. Alors que l'expresso est une véritable institution au Portugal, et les Portugais en boivent de deux à quatre par jour. Après avoir mangé, au lieu de rester à table à discuter, la famille entière va prendre un café au bar du coin. A 60 centimes le café, c'est peut-être plus facile que chez nous.
Un rapport différent aux langues étrangères
Et pour rester sur la suprématie portugaise, leurs compétences linguistiques mériteraient un chapitre entier. La phonétique portugaise est beaucoup plus riche, ce qui leur facilite la vie pour l'apprentissage des autres langues. D'autant plus que, à part les dessins animés, toutes les séries et les films sont diffusés en VO, au cinéma comme à la télévision.
Reconnaissons que nous, les Espagnols, nous ne sommes pas vraiment doués pour les langues mais comment s'attendre à des miracles quand on doit apprendre l'anglais avec des professeurs espagnols et que la seule langue que nous entendons parler est la nôtre. Pour autant cette insuffisance espagnole donne lieu à certaines exagérations de la part des Portugais convaincus que nous traduisons absolument tout en espagnol. Parmi les mythes qui ont la vie dure, citons les Rolling Stones que nous aurions rebaptisé "Les Pierres qui roulent" ou encore le Johnnie Walker devenu "Jean qui marche".
 
 
Courrier International

Astronomy picture of the day 23-09-2014 - Aurora and Volcanic Light Pillar

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Aurora and Volcanic Light Pillar
Image Credit & Copyright: Stéphane Vetter(Nuits sacrées)

Explanation: That's no sunset. And that thin red line just above it -- that's not a sun pillar. The red glow on the horizon originates from a volcanic eruption, and the red line is the eruption's reflection from fluttering atmospheric ice crystals. This unusual volcanic light pillar was captured over Iceland earlier this month. The featured scene looks north from Jökulsárlón toward the erupting volcano Bárðarbunga in the Holuhraun lava field. Even the foreground sky is picturesque, with textured grey clouds in the lower atmosphere, shimmering green aurora in the upper atmosphere, and bright stars far in the distance. Although the last eruption from Holuhraun was in 1797, the present volcanic activity continues.

2014-09-22

Pintura - El Greco - "Pentecostés"


'Pentecostés'. Obra de El Greco y su taller en torno a 1600.

Chuva intensa provoca inundações em Lisboa

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Pedras de granizo do tamanho de bolas de golfe. Leu bem, foi isso que o jornalista do Observador viu nos Restauradores: granizo do tamanho de bolas de golfe. Mas também constatou que várias pedras da calçada foram arrastadas Avenida da Liberdade abaixo, até pararem nos Restauradores.
Na Praça de Espanha, a água chegou a dar pelos joelhos dos bombeiros que tentam fazê-la escoar. Há dois carros de bombeiros no local, que continua parcialmente inundado. Ali ao lado, nas ruas paralelas à Avenida de Berna o trânsito está lento.
Na Avenida da Liberdade e no Marquês de Pombal, os semáforos não funcionam.
A forte tempestade que no início da tarde desta segunda-feira caiu sobre Lisboa provocou várias inundações e as zonas mais afetadas são as da Praça de Espanha, Sete Rios, Benfica, Baixa Pombalina e Avenida da Liberdade. Às 16h45, a página dos Bombeiros Sapadores na internet registava onze situações ativas por inundações.
#mautempo #raining #chuva #storm #inundação #cheias #flood #stranger #estranho #igerslisboa #igersportugal #p3top


O Instituto Português do Mar e da Atmosfera (IPMA) elevou o nível de aviso para todos os distritos de Portugal Continental devido à possibilidade de fortes aguaceiros acompanhados de trovoada, até às uma situação meteorológica de risco moderad21h. Há cinco distritos com alerta laranja, representando o a elevado.
 
Observador - Portugal

Astronomy picture of the day 22-09-2014 - A Partially Eclipse Setting Sun

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A Partially Eclipsed Setting Sun
Image Credit & Copyright: Andrew Wall

Explanation: If you look closely, you will see something quite unusual about this setting Sun. There are birds flying to the Sun's left, but that's not so unusual. A dark sea covers the Sun's bottom, and dark clouds cover parts of the middle, but they are also not very unusual. More unusual is the occulted piece at the top right. And that's no occulting cloud -- that's the Moon. Yesterday the Moon moved in front of part of the Sun as visible from Australia, and although many locations reported annoying clouds, a partially eclipsed Sun would occasionally peek through as it set. The above image was captured yesterday on the western horizon of Adelaide, South Australia. The maximum eclipse was visible only from a small part of Antarctica where the entire Moon could be seen covering the entire center of the Sun in what is known as an annular eclipse, leaving only a ring of fire from the Sun peeking out around the edges. The next solar eclipse will be another partial eclipse, will occur on 2014 October 23, and will be visible from most of North America near sunset.

2014-09-21

Foto - Céu do Barreiro" - Portugal - 21-09-2014

"Céu - Barreiro"
21-09-2014
JoanMira

Foto - Ninos de Cuba - Outubro 2010

"Ninos de Cuba"
 
Outubro 2010
JoanMira

Foto - "Barreiro antigo" (avenida da praia) - Portugal - 08-09-2014

 
"Barreiro antigo" (avenida da praia)
 
08-09-2014
JoanMira

Texte - "Souvenirs de l'école de la République"

J’avais un copain d’école, que l’on surnommait « la fillette »… Je ne me souviens plus de son nom ;  seul j’ai présent son souvenir d’adolescent au teint pâle et fragile qui ne prisait point trop les jeux de brutes auxquels nous nous livrions quand nous en avions le temps, c’est-à-dire, constamment ! 
Je transportais sur mon vieux vélo rouillé ma petite sœur à l’école des filles et, entre son domaine et le parvis de Saint-Vincent, j’entrais dans le no man’s land, aussi bien connu, en cette année 1965, par le « Royaume de la Castagne »… 
Toutes frustrations : études ratées ou une vie familiale stricte et violente se réglaient là ! Entre deux cours à l’Ecole Primaire Saint-Vincent tous les élèves se rendaient au fronton pour le « yo pour le roi » ; une espèce de jeu de pelote  rudimentaire adapté aux règles des handicapés du petit cerveau et gros bras. 
Plus tard dans j’ai compris qu’il en est de même dans la vie : notre intelligence ne sert à rien si l’on n’a pas assez de force pour lui faire place. 

Revenons au jeu ; une mêlée nombreuse et confuse où il valait mieux être viril pour « chopper » la balle revenue du fronton : encore fallait-il ne pas la prendre à « l’andouille » maladroit mais costaud, afin d’éviter une « branlée » probable et annoncée. 

Ce jeu, au demeurant intéressant, finissait invariablement par une bagarre générale interrompue par la sonnerie indiquant le retour aux cours et la fin de la « récréation ». 

Comme je comprends, aujourd’hui, que la « fillette » ne voulût point se joindre à ce jeu viril où beaucoup d’entre nous évacuaient leurs frustrations. 

La « fillette » (je l’appellerai Jean désormais) subissait tous quolibets et  sévices de cette virilité campagnarde sans mot dire… Je le comprenais mais, appartenant au clan des brutes, il ne m’était pas permis de le défendre malgré le secret désir de le faire. Lâcheté sans doute… En pensant à cet être délicat il me vient un regret rétrospectif du fond de l’âme. Pardon Jean ; tu étais un mec bien. 
Parfois, le mercredi surtout, nous prenions l’air au « ruby » du côté du « Gond »… Avec mes frêles kilos, je ne faisais pas trop le poids ni le fier ; mais je jouais quand-même, profitant de l’agilité qui me permettait d’éviter la plupart des défis physiques; et cela fonctionnait jusqu’au jour où, sur un terrain boueux jusqu’aux genoux et  après quelques feintes de passe, regardant à gauche et à droite, je suis venu m’empaler sur un mamouth qui, (d’après Jean qui assistait au « spectacle »), traînait à cet endroit, immobile  depuis l’éternité que lui permettait sa graisse, avec la foi inébranlable de pouvoir attraper quelque « brêle » qui se présenterait sur son pauvre e restreint territoire! 
Ce fut moi… le coup de corne fut si rude que le ciel gris fut zébré d’éclairs multicolores. 

Mais le « match » était fini et nous allions pouvoir déguster nos « menthe à l’eau » au milieu de chants joyeux et  paillards. 
27 septembre 2013. 
JoanMira