2012-08-12

Londres 2012: Contre la Suède, les Français deviennent les Experts pour l’éternité

L'équipe de France de handball (de gauche à droite: Luc Abalo, Cedric Sorhano, Nikola Karabatic, Didier Dinar et Daniel Narcisse) célèbre sa victoire dimanche 12 août.

«Peut être qu’un jour, plus tard, je réaliserai que je fais partie de la meilleure équipe de tous les temps». Mais pour le moment, non, Xavier Barrachet n’en est pas là: il se contente de faire reluire sa médaille d’or et de la prêter aux journalistes. La question est pourtant tranchée. Les Experts, en conservant leur titre olympique après avoir battu la Suède (22-21), sont bel et bien la meilleure équipe française de tous les temps.
Il fallait peut être le rappeler, tant l’Euro serbe avait entaché la réputation de ces machines à gagner, qui doivent chaque année faire agrandir les dépendances pour faire rentrer leurs trophées. Il n’y a pas de réponse de toute faite, encore moins d’explication simple, au succès phénoménal de ce groupe. «Les caractères sont différents, les égos sont différents, ce n’est pas forcément facile à gérer. On nous a un peu tapé dessus, à juste titre. Mais on avait un objectif commun», détaille Daouda Karaboué, l’éternel remplaçant de Thierry Omeyer.
«Être solidaire, avoir envie de gagner, jamais se relâcher»
Tout ça parait simple, «mais de l’extérieur, on ne se rend pas compte de l’exigence», souffle Xavier Barrachet. C’est pour ça qu’il déteste comparer. Plus forts? Moins forts? Mieux qu’à Pékin? Moins bien qu’à Pékin? «Nous on s’en fout de tout ça, de ces histoires de palmarès. C’est pour les journaleux ça. C’est l’aventure humaine qui est belle», tance Bertrand Gille. C’est aussi l’un des piliers de la relance depuis l’Euro: les critiques, les doutes, tout ça a remis les Experts en marche. «Claude n’a pas eu besoin de nous en parler. On l’a lu, on l’a entendu, ça nous a piqué dans notre orgueil. Il en a juste rajouté une petite couche», remarque Xavier Barrachet.
Maintenant qu’ils sont revenus au sommet, après un tout petit pas de côté, cette équipe a rendez-vous en janvier 2013, en Espagne, pour les championnats du monde. Là où cette génération exceptionnelle devrait se dire au-revoir. Sans que cela n’inquiète grand monde. De toute façon, le savoir de cette équipe a l’air de ne pas sauter les générations. «Au début quand tu arrives, tu es un peu impressionné, raconte William Accambray. Il n’y a pas vraiment de concurrence pour les nouveaux. Être solidaire, avoir envie de gagner, jamais se relâcher, c’est ce qu’on t’apprend. Et puis au bout d’un moment, tu comprends que les légendes avec qui tu joues sont des mecs comme toi». Des mecs blindés d’or.
Antoine Maes

Photo - A la découverte de Rio - Avenida Atlântica

Je crois que nous sommes tous pareils: nous connaissons Cancun, Cuba, New York, La Terre de Feu...et souvent nous ne connaissons pas ce qui existe dans notre quartier...

Je n'échappe pas à la règle, mais aujourd'hui j'ai décidé de passer quelques heures dans ce joyau de mon quartier de Copacabana, l'avenue Atlântica.


L'Atlântica est l'avenue mytique qui longe toute la plage de Copacabana

Elle reçoit bon nombre d'affluents comme les rues Bolivar, Barão de Ipanema, Constante Ramos, Santa Clara, Figueiredo de Magalhães, Sigueira Campos...


A Siqueira Campos, se trouve mon restaurant préféré "Manuel & Juaquim".
Sur le chemin de retour, en rythme touriste, j'ai fait ces quelques photos.








Foot-volley


Souvenirs

Rua Bolivar, ma rue

Vous voici devant chez moi.
Fin de la promenade.
JOANMIRA

Ultima hora - importante declaracão de Paulo Portas: "Não me falem em submarinos..."

 

"...submarinos, não! Falem-me de problemas sérios e necessarios para a retoma (!) da Economia portuguesa:
Reducão dos elevados salarios dos portugueses que trabalham e que impedem as empresas de terem muito mais lucro sem investir, reducão dos subsidios de férias e de natal que permitem aos Portugueses um consumismo desenfreado sem contrapartida laboral, fecho de escolas e hospitais, ja que a maioria dos Portugueses são "doutores" e não necessitam de ensino e que, segundo estatisticas do Instituto De Apreciacão Internacional Otario Terapeutico    Analfabeto (I.D.I.O.T.A.), os Portugueses estão todos bem de saude e não carecem de cuidados médicos, vivendo num Pais com excelentes condicões climatéricas  gracas, devo dizer, ao esforco dos nossos letrados politicos em geral e dos gays do  CDS-PP em particular. Disfrutem do nosso clima amen (o), da excelente situacão geografica do Pais, dos penteados do Ronaldo mas, por favor, não nos amolguem o tacho; não nos  envolvam em polémicas que poderiam travar o nosso desempenho e prejudicar Portugal. Os mercados estão de olhos postos em nos; qualquer noticia negativa seria por eles aproveitada para impor mais medidas de austeridade de molde a agravar a situacão dos nossos bancos e empresas. Muito obrigado pela vossa submissão... Heum...atencão...  Quê, submarinos? Não, não e não!"
JOANMIRA - Rio de Janeiro

Les grands peintres impressionnistes - Edgar Degas - 1834-1917

DEBUSSY - L'isle joyeuse (1904)

Edgar DEGAS

mouvement et composition

UNE FORMATION CLASSIQUE
Edgar DEGAS (1834-1917), peintre et sculpteur français, est considéré comme l'un des représentants majeurs de l'impressionnisme grâce à sa composition novatrice et à son analyse perspective du mouvement.
Il fut aussi l'un des plus actifs organisateurs du mouvement impressionniste, même si ses conceptions artistiques étaient distinctes de celles de ses amis impressionnistes.
De son vrai nom Hilaire Germain Edgar de Gas, il naît à Paris en juillet 1834 dans une grande famille noble de banquiers, aisée et cultivée. Sa mère était créole, originaire de la Nouvelle-Orléans. Son père, amateur d'art éclairé, permet à son fils d'aménager un atelier dans sa propre maison.
Après de brèves études de droit, il étudie à l'Ecole des Beaux-Arts sous la direction de Lamothe, un disciple d'Ingres, peintre auquel il devait toujours vouer une admiration sans borne. Il y acquiert une grande maîtrise du dessin qui constituera toujours une caractéristique majeure de son art.
En 1859, il part pour l'Italie où il étudie, à Florence, Naples et Rome, les œuvres du Quattrocento, et peint de nombreux portraits.
Il étudiera à fond l'art ancien, tout en programmant dès 1859 dans ses carnets, toute une liste de motifs de la vie contemporaine qu'il projette de traiter : musiciens, danseuses, deuils, cafés le soir... autant de thèmes qu'on retrouvera dans son oeuvre.
Par son statut social, sa culture et sa conception artistique, Degas a beaucoup de points communs avec Manet. Plus encore que Manet, c'est un peintre de figures, il ne s'intéresse jamais au paysage.
C l i q u e z sur les i m a g e s

Autoportrait au chapeau mou
1857-58

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Sterling and Francine Clark
Art Institute
Williamstown, Massachusetts
UNE COMPOSITION NOVATRICE
"La Famille Bellelli" (1858-1860) est l'un de ses premiers tableaux véritablement personnels, et peut être considéré comme l'un des premiers chefs-d'oeuvre de l'Impressionnisme.
Ce tableau représente le baron Bellelli, révolutionnaire exilé à Naples en 1848, et sa femme Laura, fille du banquier napolitain de Gas qui vient de décéder, et tante du peintre, avec leurs deux filles, en habits de deuil.
Comme il le fera tout au long de sa vie, Degas choisit une composition inédite, et apparaît déjà comme un maître portraitiste dont l'intérêt principal est de traduire les états psychiques des personnages.
Par sa composition - des personnages aux poses peu contraintes, le père vu de dos comme coinçé entre des meubles et relégué à une incompréhensible insignifiance -, il transforme une scène de deuil en une banale scène du quotidien.
Malgré les attitudes pouvant être interprétées comme des signes de cohésion familiale, les regards divergent et sont emplis de froideur. Cette objectivité et cette fugacité des relations humaines sont un leitmotiv dans l'oeuvre de Degas.
Comme Manet avec son "Olympia", Degas conservera ce tableau sur lequel il travailla longtemps, jusqu'à sa mort.
La famille Bellelli
1858-60
Musée d'Orsay, Paris
DES THEMES CONTEMPORAINS ET URBAINS
A partir de 1861, il devait commencer à abandonner les sujets historiques et s'intéresser au thème des courses de chevaux, coutume aristocratique importé d'Angleterre, que Géricault (1791-1824) avait traité avant lui. A Longchamp, qui venait d'ouvrir, Degas étudiera attentivement l'animation des champs de course - l'univers des jockeys, les préparatifs et le départ des courses... -.
Il se lie dès 1862 avec Manet ("Portrait de Manet", 1864), mais ne rencontrera Monet et Renoir qu'en 1865 au Café Guerbois. De 1865 à 1870, il enverra chaque année ses oeuvres au Salon, avec succès. Après 1870, il cessera définitivement ses envois.
Contrairement aux autres impressionnistes, Degas préfèrera toujours travailler à l'atelier et ne partagera ni leur goût de la campagne et du plein air, ni leur recherche sur la lumière naturelle qui était au coeur de leurs préoccupations. Bien au contraire, il se penchera sur les effets de la lumière artificielle (lampes à gaz).
Sa mémoire visuelle lui permet de retranscrire précisément en atelier les sujets qu'il a observés, qu'il recrée dans une composition picturale voulue par lui. Degas revendiquait le droit de l'artiste à traduire ainsi sa volonté artistique, s'opposant en celà aux autres impressionnistes qui privilégiaient la spontanéité de la peinture sur le motif.
Degas dira ainsi de son art : “ Aucun art n'est aussi peu spontané que le mien. Ce que je fais est le résultat de la réflexion et de l'étude des grands maîtres; de l'inspiration, la spontanéité, le tempérament, je ne sais rien...”, ou encore : "je ne veux pas perdre la tête face à la nature".
A cette époque, tout en continuant à travailler à des portraits réalistes, comme "La femme aux chrysanthèmes" - 1865, Degas envoie au Salon en 1866 une course de chevaux, et commence à s'intéresser à un autre thème majeur de son oeuvre : le théâtre, la danse, la musique.
Avec "L'orchestre de l'Opéra" - 1868-69, Degas signe encore une composition très novatrice, avec en plans superposés vus du premier rang, la fosse aux musiciens, et la scène avec les danseuses de ballet décapitées formant un tourbillon de jambes et de tutus.
Bien que Degas ait rarement porté son regard en dehors des limites de sa sphère sociale, il s'attachera aussi au thème des repasseuses, alors à la mode en littérature et en peinture, qu'il reprendra épisodiquement tout au long de son oeuvre ("La repasseuse" - 1869).

L'orchestre de l'Opéra
vers 1868-69
Musée d'Orsay, Paris
Epris de "modernité" et admirateur de la vie urbaine, Degas est un observateur sceptique et sans illusions, qui souvent cherche à exprimer dans ses tableaux l'incohérence, l'amèreté, l'insolite ou l'incompréhensible des situations.
Pendant la guerre de 1870, Degas servira, comme Manet, dans la Garde Nationale à Paris. Après la Commune, il ira rendre visite à sa famille à La Nouvelle-Orléans, dont il ramènera le célèbre Bureau du coton à la Nouvelle-Orléans - 1873
Degas est co-organisateur de la 1ère exposition des Impressionnistes, et n'exposera plus que dans les expositions du groupe.
UN PEINTRE DU MOUVEMENT
N'ayant pas à vendre ses tableaux pour vivre, il va continuer à travailler, sans commande, sur ses thèmes favoris : portraits contemporains, courses de chevaux, scènes de café, monde du spectacle. Dans ce dernier, il va de plus en plus s'intéresser particulièrement au ballet, qui va devenir pour lui le sujet artistique dominant.
Il voit dans le ballet, en dehors de la magie qu'il exerce sur lui, un sujet idéal d'observation du mouvement rapide, et une vaste possibilité de composition spatiale, offerte par toute la surface de la scène.
Rapidement, Degas sera sensible, à travers ses observations des artistes dans les coulisses lors de leur travail - exercices, répétitions - , au décalage existant entre la féerie des costumes et des spectacles et la situation sociale misérable des danseurs.
Pour Degas, le microcosme du théâtre, de la musique et de la danse, qui focalise l'attention de la riche société qui peut s'offrir le luxe des spectacles, va devenir un lieu d'observation privilégié des rapports humains et des rapports contradictoires entre l'art, le travail et les affaires.

Danseuses
1878
Collection privée
L'ADAPTATION A SA MALADIE DES YEUX
Degas vécut mal certaines mauvaises affaires de sa famille, quoiqu'il fut toujours à l'abri du besoin, et, surtout va être éprouvé à partir de 1870 par une maladie des yeux, qui ne fera qu'empirer, malgré les soins, jusqu'à une cécité totale, marquant la fin de son activité artistique, en 1911.
D'un caractère difficle et solitaire, Degas vivra de plus en plus dans une certaine misanthropie, mais son activité artistique restera exceptionnelle : à sa peinture qu'il fera évoluer vers des scènes d'intérieur et le pastel, il ajoutera une oeuvre de sculpteur (et même une brève et intense oeuvre de photographe entre 1895 et 1896).

Bain du matin
1883
Pastel
sur papier Art Institute of Chicago
A compter de 1879, à travers des oeuvres telles que Femme à la coiffeuse, Degas s'intéressa presque exclusivement au thème pourtant fort ancien des femmes à la toilette.
Ironique, parfois cruel, mais toujours objectif et brillant dans la représentation, son réalisme atteint à une crudité souvent démystifiante de la femme.
Pratiquant depuis longtemps le pastel, il privilégiera cette technique lorsque sa vue trop dégradée lui interdira le travail de l'huile trop minutieux.
Il en profitera pour évoluer vers une technique plus enlevée et plus libre, modelant les volumes par le seul stratagème de la lumière et relevant l'ensemble par quelques touches de couleur pure.
Degas est une personnalité trop indépendante pour pouvoir se fondre totalement dans le mouvement impressionniste. S'il en est historiquement une des pièces maîtresses, ce qui le lie au mouvement impressionniste, c'est bien plus son esprit frondeur, anticonformiste, son goût de la modernité et le désir d'une peinture contemporaine, que ses conceptions artistiques qui sont souvent en opposition avec celles des impressionnistes.
Degas ne cessa toute activité artistique qu'à partir de 1911, lorsqu'il devint tout à fait aveugle.
L'ensemble de son oeuvre de peintre, très importante (2000 tableaux), se caractérise par son approche véritablement objective des sujets traités,l'extrême souci du réalisme, du dessin exact et la recherche et l'étude du mouvement.

Il tente de fixer, à la manière de la photographie naissante - qu'il pratiqua avec succès - le mouvement, au travers de poses naturelles et spontanées.

Cavaliers sous la pluie
1886
Glasgow Museums and
Art Gallery , Ecosse
 

2012-08-11

Olimpíadas 2012 - Ouro para o Brasil!

Jogadoras da seleção brasileira de vôlei comemoram mais um ponto rumo à medalha de ouro em Londres Foto: FP

LONDRES - O Brasil é bicampeão olímpico no vôlei feminino. Em mais uma prova de que sabem superar as adversidades, as meninas da seleção brasileira não se perturbaram com a derrota no primeiro set e, com uma atuação impecável nos sets seguintes, venceram os Estados Unidos por 3 a 1 na decisão em Londres (11/25, 25/17, 25/20 e 25/17) repetindo o placar da final de quatro anos atrás, em Pequim, também contra as americanas.
Seis jogadoras que foram ouro em 2008 se tornaram as primeiras mulheres bicampeãs olímpicas do país: Fabi, Fabiana, Jaqueline, Paula Pequeno, Sheilla e Thaísa. Treinador no primeiro título olímpico do vôlei masculino (Barcelona-1992) e também na primeira conquista do feminino, José Roberto Guimarães chegou ao seu terceiro ouro em Jogos, um tricampeonato sem medalha, já que os técnicos não recebem a premiação.
A seleção brasileira começou muito mal a partida, e os EUA abriram 6 a 1 rapidamente. Desperdiçando muitos contra-ataques, o Brasil não conseguia reagir, foi para o segundo tempo técnico perdendo por 16 a 7. A preocupação com bloqueio americano também levou as brasileiras a atacar muitas bolas para fora. Mesmo com mudanças na equipe - Paula Pequeno e Adenizia nos lugares de Fê Garay e Thaísa, o time do técnico José Roberto Guimarães continuou facilmente envolvido, e perdeu o set em apenas 21 minutos.
O Brasil reagiu no segundo set. Com dois ataques de Jaqueline e um de Fernanda Garay, o time abriu 3 a 0, mostrando estar recuperado da péssima atuação na primeira parcial. Mesmo depois de os EUA equilibrarem a partida em 12 a 12, o Brasil não se desesperou. Pelo contrário, com uma sequência de pontos, abriu grande vantagem: 18 a 12. A partir daí, bastou confirmar seus ataques para fechar o set em 26 minutos e empatar o jogo.
Novamente, a equipe brasileira teve um bom início de set, abrindo 6 a 2. Por mais que se aproximasse, os EUA não passaram à frente no placar em nenhum momento na parcial. Com Fê Garay, Jaqueline e Sheilla inspiradas no ataque, o Brasil controlou a vantagem até fechar em 25/20, em 27 minutos, virando o jogo para 2 a 1.
O bom início foi mais uma vez o trunfo do Brasil no quarto set. Com 5 a 2 contra, o técnico dos EUA, o neozelandês Hugh McCutcheon teve de queimar cedo seu primeiro pedido de tempo. Não adiantou, e as brasileiras continuaram sobrando em quadra, novamente com Fê Garay vencendo o bloqueio adversário de toda maneira. No segundo tempo técnico, o Brasil já vencia por 16 a 10, e as meninas já não escondiam o sorriso de quem via o bicampeonato se aproximando. E com as americanas totalmente perdidas em quadra, o Brasil foi somando ponto atrás de ponto, até chegar ao título com um ataque de Fê Garay.
Leia mais sobre esse assunto em http://oglobo.globo.com/olimpiadas2012/selecao-brasileira-feminina-de-volei-bicampea-olimpica-5763350#ixzz23GdcLsPo

Relvas: "Está caladinho, senão levas no focinho!"


O presidente da Câmara Municipal de Vila Nova de Gaia, Luís Filipe Menezes, avisou o seu vice-presidente de que as críticas feitas por este ao ministro Miguel Relvas
 "não se podem repetir".
Firmino Pereira, que é vice-presidente do PSD/Porto e da Câmara Municipal de Vila Nova de Gaia, defendeu a saída do Governo do ministro Adjunto e dos Assuntos Parlamentares, por considerar que Miguel Relvas "está a fragilizar a imagem do Governo".
Ministro Miguel Relvas (foto LUSA)
«Relvas tem reforma de 2.800 euros por mês»
O ministro adjunto já está reformado. Miguel Relvas, de 51 anos, optou por suspender a sua pensão quando aceitou integrar o Governo liderado por Passos Coelho, dando cumprimento à lei que impede a acumulação de salários com pensões aos titulares de cargos políticos. A subvenção vitalícia de Relvas é de 2.800 euros por mês. No ano passado, a Caixa Geral de Aposentações pagou mais de 14 mil euros ao ministro adjunto a título de pensão vitalícia, um pagamento que foi suspenso quando tomou posse no actual Governo.

Ultima hora - importante declaracão de Paulo Portas: "Não me falem em submarinos..."


"...submarinos, não! Falem-me de problemas sérios e necessarios para a retoma (!) da Economia portuguesa:
Reducão dos elevados salarios portugueses, que impedem as empresas de terem mais lucro sem investir, reducão dos subsidios de férias e de natal que permitem aos Portugueses um consumismo desenfreado sem contrapartida laboral, fecho de escolas e hospitais, ja que a maioria dos Portugueses são "doutores" e não necessitam do ensino primario e que, segundo estatisticas do Instituto Dapreciacão Internacional Otario Terapeutico  e Analfabeto (I.D.I.O.T.A.), os Portugueses estão todos bem de saude e não carecem de cuidados médicos, vivendo num Pais com excelentes condicões climatéricas, gracas, devo dizer, ao esforco dos nossos letrados politicos em geral e do CDS-PP em particular. Disfrutem das excelentes condicões do Pais e, por favor,  não me envolvam em polémicas que poderiam travar o nosso desempenho. Obrigado. Submarinos? Não, não e não!" 
JOANMIRA - Rio de Janeiro