2012-08-12
Londres 2012: Contre la Suède, les Français deviennent les Experts pour l’éternité
«Peut être qu’un jour, plus tard, je réaliserai que je fais partie de la meilleure équipe de tous les temps». Mais pour le moment, non, Xavier Barrachet n’en est pas là: il se contente de faire reluire sa médaille d’or et de la prêter aux journalistes. La question est pourtant tranchée. Les Experts, en conservant leur titre olympique après avoir battu la Suède (22-21), sont bel et bien la meilleure équipe française de tous les temps.
Il fallait peut être le rappeler, tant l’Euro serbe avait entaché la réputation de ces machines à gagner, qui doivent chaque année faire agrandir les dépendances pour faire rentrer leurs trophées. Il n’y a pas de réponse de toute faite, encore moins d’explication simple, au succès phénoménal de ce groupe. «Les caractères sont différents, les égos sont différents, ce n’est pas forcément facile à gérer. On nous a un peu tapé dessus, à juste titre. Mais on avait un objectif commun», détaille Daouda Karaboué, l’éternel remplaçant de Thierry Omeyer.
«Être solidaire, avoir envie de gagner, jamais se relâcher»
Tout ça parait simple, «mais de l’extérieur, on ne se rend pas compte de l’exigence», souffle Xavier Barrachet. C’est pour ça qu’il déteste comparer. Plus forts? Moins forts? Mieux qu’à Pékin? Moins bien qu’à Pékin? «Nous on s’en fout de tout ça, de ces histoires de palmarès. C’est pour les journaleux ça. C’est l’aventure humaine qui est belle», tance Bertrand Gille. C’est aussi l’un des piliers de la relance depuis l’Euro: les critiques, les doutes, tout ça a remis les Experts en marche. «Claude n’a pas eu besoin de nous en parler. On l’a lu, on l’a entendu, ça nous a piqué dans notre orgueil. Il en a juste rajouté une petite couche», remarque Xavier Barrachet.
Maintenant qu’ils sont revenus au sommet, après un tout petit pas de côté, cette équipe a rendez-vous en janvier 2013, en Espagne, pour les championnats du monde. Là où cette génération exceptionnelle devrait se dire au-revoir. Sans que cela n’inquiète grand monde. De toute façon, le savoir de cette équipe a l’air de ne pas sauter les générations. «Au début quand tu arrives, tu es un peu impressionné, raconte William Accambray. Il n’y a pas vraiment de concurrence pour les nouveaux. Être solidaire, avoir envie de gagner, jamais se relâcher, c’est ce qu’on t’apprend. Et puis au bout d’un moment, tu comprends que les légendes avec qui tu joues sont des mecs comme toi». Des mecs blindés d’or.
Antoine Maes
Photo - A la découverte de Rio - Avenida Atlântica
Je crois que nous sommes tous pareils: nous connaissons Cancun, Cuba, New York, La Terre de Feu...et souvent nous ne connaissons pas ce qui existe dans notre quartier...
Je n'échappe pas à la règle, mais aujourd'hui j'ai décidé de passer quelques heures dans ce joyau de mon quartier de Copacabana, l'avenue Atlântica.
L'Atlântica est l'avenue mytique qui longe toute la plage de Copacabana
Elle reçoit bon nombre d'affluents comme les rues Bolivar, Barão de Ipanema, Constante Ramos, Santa Clara, Figueiredo de Magalhães, Sigueira Campos...
A Siqueira Campos, se trouve mon restaurant préféré "Manuel & Juaquim".
Sur le chemin de retour, en rythme touriste, j'ai fait ces quelques photos.
Foot-volley
Souvenirs
Rua Bolivar, ma rue
Vous voici devant chez moi.
Fin de la promenade.
JOANMIRA
Ultima hora - importante declaracão de Paulo Portas: "Não me falem em submarinos..."
"...submarinos, não! Falem-me de problemas sérios e necessarios para a retoma (!) da Economia portuguesa:
Reducão dos elevados salarios dos portugueses que trabalham e que impedem as empresas de terem muito mais lucro sem investir, reducão dos subsidios de férias e de natal que permitem aos Portugueses um consumismo desenfreado sem contrapartida laboral, fecho de escolas e hospitais, ja que a maioria dos Portugueses são "doutores" e não necessitam de ensino e que, segundo estatisticas do Instituto De Apreciacão Internacional Otario Terapeutico Analfabeto (I.D.I.O.T.A.), os Portugueses estão todos bem de saude e não carecem de cuidados médicos, vivendo num Pais com excelentes condicões climatéricas gracas, devo dizer, ao esforco dos nossos letrados politicos em geral e dos gays do CDS-PP em particular. Disfrutem do nosso clima amen (o), da excelente situacão geografica do Pais, dos penteados do Ronaldo mas, por favor, não nos amolguem o tacho; não nos envolvam em polémicas que poderiam travar o nosso desempenho e prejudicar Portugal. Os mercados estão de olhos postos em nos; qualquer noticia negativa seria por eles aproveitada para impor mais medidas de austeridade de molde a agravar a situacão dos nossos bancos e empresas. Muito obrigado pela vossa submissão... Heum...atencão... Quê, submarinos? Não, não e não!"
JOANMIRA - Rio de Janeiro
Les grands peintres impressionnistes - Edgar Degas - 1834-1917
A partir de 1861, il devait commencer à abandonner les sujets historiques et s'intéresser au thème des courses de chevaux, coutume aristocratique importé d'Angleterre, que Géricault (1791-1824) avait traité avant lui. A Longchamp, qui venait d'ouvrir, Degas étudiera attentivement l'animation des champs de course - l'univers des jockeys, les préparatifs et le départ des courses... -. Il se lie dès 1862 avec Manet ("Portrait de Manet", 1864), mais ne rencontrera Monet et Renoir qu'en 1865 au Café Guerbois. De 1865 à 1870, il enverra chaque année ses oeuvres au Salon, avec succès. Après 1870, il cessera définitivement ses envois. Contrairement aux autres impressionnistes, Degas préfèrera toujours travailler à l'atelier et ne partagera ni leur goût de la campagne et du plein air, ni leur recherche sur la lumière naturelle qui était au coeur de leurs préoccupations. Bien au contraire, il se penchera sur les effets de la lumière artificielle (lampes à gaz). Sa mémoire visuelle lui permet de retranscrire précisément en atelier les sujets qu'il a observés, qu'il recrée dans une composition picturale voulue par lui. Degas revendiquait le droit de l'artiste à traduire ainsi sa volonté artistique, s'opposant en celà aux autres impressionnistes qui privilégiaient la spontanéité de la peinture sur le motif. Degas dira ainsi de son art : “ Aucun art n'est aussi peu spontané que le mien. Ce que je fais est le résultat de la réflexion et de l'étude des grands maîtres; de l'inspiration, la spontanéité, le tempérament, je ne sais rien...”, ou encore : "je ne veux pas perdre la tête face à la nature".
Epris de "modernité" et admirateur de la vie urbaine, Degas est un observateur sceptique et sans illusions, qui souvent cherche à exprimer dans ses tableaux l'incohérence, l'amèreté, l'insolite ou l'incompréhensible des situations. Pendant la guerre de 1870, Degas servira, comme Manet, dans la Garde Nationale à Paris. Après la Commune, il ira rendre visite à sa famille à La Nouvelle-Orléans, dont il ramènera le célèbre Bureau du coton à la Nouvelle-Orléans - 1873 Degas est co-organisateur de la 1ère exposition des Impressionnistes, et n'exposera plus que dans les expositions du groupe.
Degas vécut mal certaines mauvaises affaires de sa famille, quoiqu'il fut toujours à l'abri du besoin, et, surtout va être éprouvé à partir de 1870 par une maladie des yeux, qui ne fera qu'empirer, malgré les soins, jusqu'à une cécité totale, marquant la fin de son activité artistique, en 1911. D'un caractère difficle et solitaire, Degas vivra de plus en plus dans une certaine misanthropie, mais son activité artistique restera exceptionnelle : à sa peinture qu'il fera évoluer vers des scènes d'intérieur et le pastel, il ajoutera une oeuvre de sculpteur (et même une brève et intense oeuvre de photographe entre 1895 et 1896).
Degas est une personnalité trop indépendante pour pouvoir se fondre totalement dans le mouvement impressionniste. S'il en est historiquement une des pièces maîtresses, ce qui le lie au mouvement impressionniste, c'est bien plus son esprit frondeur, anticonformiste, son goût de la modernité et le désir d'une peinture contemporaine, que ses conceptions artistiques qui sont souvent en opposition avec celles des impressionnistes. Degas ne cessa toute activité artistique qu'à partir de 1911, lorsqu'il devint tout à fait aveugle.
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2012-08-11
Olimpíadas 2012 - Ouro para o Brasil!
LONDRES - O Brasil é bicampeão olímpico no vôlei feminino. Em mais uma prova de que sabem superar as adversidades, as meninas da seleção brasileira não se perturbaram com a derrota no primeiro set e, com uma atuação impecável nos sets seguintes, venceram os Estados Unidos por 3 a 1 na decisão em Londres (11/25, 25/17, 25/20 e 25/17) repetindo o placar da final de quatro anos atrás, em Pequim, também contra as americanas.
Seis jogadoras que foram ouro em 2008 se tornaram as primeiras mulheres bicampeãs olímpicas do país: Fabi, Fabiana, Jaqueline, Paula Pequeno, Sheilla e Thaísa. Treinador no primeiro título olímpico do vôlei masculino (Barcelona-1992) e também na primeira conquista do feminino, José Roberto Guimarães chegou ao seu terceiro ouro em Jogos, um tricampeonato sem medalha, já que os técnicos não recebem a premiação.
A seleção brasileira começou muito mal a partida, e os EUA abriram 6 a 1 rapidamente. Desperdiçando muitos contra-ataques, o Brasil não conseguia reagir, foi para o segundo tempo técnico perdendo por 16 a 7. A preocupação com bloqueio americano também levou as brasileiras a atacar muitas bolas para fora. Mesmo com mudanças na equipe - Paula Pequeno e Adenizia nos lugares de Fê Garay e Thaísa, o time do técnico José Roberto Guimarães continuou facilmente envolvido, e perdeu o set em apenas 21 minutos.
O Brasil reagiu no segundo set. Com dois ataques de Jaqueline e um de Fernanda Garay, o time abriu 3 a 0, mostrando estar recuperado da péssima atuação na primeira parcial. Mesmo depois de os EUA equilibrarem a partida em 12 a 12, o Brasil não se desesperou. Pelo contrário, com uma sequência de pontos, abriu grande vantagem: 18 a 12. A partir daí, bastou confirmar seus ataques para fechar o set em 26 minutos e empatar o jogo.
Novamente, a equipe brasileira teve um bom início de set, abrindo 6 a 2. Por mais que se aproximasse, os EUA não passaram à frente no placar em nenhum momento na parcial. Com Fê Garay, Jaqueline e Sheilla inspiradas no ataque, o Brasil controlou a vantagem até fechar em 25/20, em 27 minutos, virando o jogo para 2 a 1.
O bom início foi mais uma vez o trunfo do Brasil no quarto set. Com 5 a 2 contra, o técnico dos EUA, o neozelandês Hugh McCutcheon teve de queimar cedo seu primeiro pedido de tempo. Não adiantou, e as brasileiras continuaram sobrando em quadra, novamente com Fê Garay vencendo o bloqueio adversário de toda maneira. No segundo tempo técnico, o Brasil já vencia por 16 a 10, e as meninas já não escondiam o sorriso de quem via o bicampeonato se aproximando. E com as americanas totalmente perdidas em quadra, o Brasil foi somando ponto atrás de ponto, até chegar ao título com um ataque de Fê Garay.
Leia mais sobre esse assunto em http://oglobo.globo.com/olimpiadas2012/selecao-brasileira-feminina-de-volei-bicampea-olimpica-5763350#ixzz23GdcLsPoRelvas: "Está caladinho, senão levas no focinho!"
O presidente da Câmara Municipal de Vila Nova de Gaia, Luís Filipe Menezes, avisou o seu vice-presidente de que as críticas feitas por este ao ministro Miguel Relvas
"não se podem repetir".
Firmino Pereira, que é vice-presidente do PSD/Porto e da Câmara Municipal de Vila Nova de Gaia, defendeu a saída do Governo do ministro Adjunto e dos Assuntos Parlamentares, por considerar que Miguel Relvas "está a fragilizar a imagem do Governo".
O ministro adjunto já está reformado. Miguel Relvas, de 51 anos, optou por suspender a sua pensão quando aceitou integrar o Governo liderado por Passos Coelho, dando cumprimento à lei que impede a acumulação de salários com pensões aos titulares de cargos políticos. A subvenção vitalícia de Relvas é de 2.800 euros por mês. No ano passado, a Caixa Geral de Aposentações pagou mais de 14 mil euros ao ministro adjunto a título de pensão vitalícia, um pagamento que foi suspenso quando tomou posse no actual Governo.
Ultima hora - importante declaracão de Paulo Portas: "Não me falem em submarinos..."
"...submarinos, não! Falem-me de problemas sérios e necessarios para a retoma (!) da Economia portuguesa:
Reducão dos elevados salarios portugueses, que impedem as empresas de terem mais lucro sem investir, reducão dos subsidios de férias e de natal que permitem aos Portugueses um consumismo desenfreado sem contrapartida laboral, fecho de escolas e hospitais, ja que a maioria dos Portugueses são "doutores" e não necessitam do ensino primario e que, segundo estatisticas do Instituto Dapreciacão Internacional Otario Terapeutico e Analfabeto (I.D.I.O.T.A.), os Portugueses estão todos bem de saude e não carecem de cuidados médicos, vivendo num Pais com excelentes condicões climatéricas, gracas, devo dizer, ao esforco dos nossos letrados politicos em geral e do CDS-PP em particular. Disfrutem das excelentes condicões do Pais e, por favor, não me envolvam em polémicas que poderiam travar o nosso desempenho. Obrigado. Submarinos? Não, não e não!"
JOANMIRA - Rio de Janeiro
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